Deux planeurs de narcotrafiquants retrouvés en Janvier
Alors qu'il pêchait dans les eaux de l'estuaire d'Arousa, un marin-pêcheur est tombé sur un narco-sous-marin presque entièrement immergé dont seule la proue était visible. Cette embarcation artisanale mesure quinze mètres de long et est utilisée pour transporter de la drogue.
La garde civile et la surveillance douanière ont ouvert une enquête sur cette embarcation, car tout indique qu'elle est liée au trafic de drogue et aux deux planeurs qui ont été retrouvés échoués sur les côtes de Ribeira en février dernier. Selon des sources proches de l'enquête, ces deux avions planeurs retrouvés au mois de Janvier sont également suspectés d'être partie prenante dans ce qui semble être un trafic de drogue international. Les appareils auraient tous été préparés pour une opération de déchargement de stupéfiants transportés par le sous-marin.
L'alerte à l'apparition du bathyscaphe a été donnée par des marins qui pêchaient dans la zone. La Garde civile a été prévenue par un navire de pêche vers 10h15 ce lundi.
La surveillance douanière et la Garde civile se sont rendues sur place, ainsi que le navire de sauvetage maritime "Salvamar Sargadelos", basé à Ribeira, pour prêter assistance en cas de déversement de carburant.
Des sources de la surveillance douanière ont confirmé que l'embarcation était désormais complètement immergée et que leurs équipes ont pu descendre un drone sous-marin pour confirmer qu'il s'agissait bien d'un sous-marin artisanal fermé, tout comme le "narco-sous-marin" retrouvé au large des côtes d'Aldán en novembre 2019 nous apprends Telecinco.
On ne connaît pas encore les circonstances de l'immersion de l'embarcation et tout porte à croire qu'il n'y a personne à bord. Cependant, ce sont les enquêteurs qui détermineront si les plongeurs peuvent accéder au sous-marin pour vérifier s'il transporte de la drogue ou une équipe à bord. Il reste également à déterminer l'opération pour renflouer et remorquer l'embarcation jusqu'à un port, car les conditions de mer et de vent (une alerte orange a été décrétée en début de semaine sur la zone d'opération) peuvent compliquer les manœuvres.
En plus de l'opération en mer, un important dispositif de forces de sécurité a été déployé à Vilaxoán. Des agents de la Police nationale, de l'UCO de la Garde civile et de l'Agence des douanes, avec des moyens terrestres et aériens, sont sur place pour assurer la sécurité de la zone.
La garde civile et la surveillance douanière ont ouvert une enquête sur cette embarcation, car tout indique qu'elle est liée au trafic de drogue et aux deux planeurs qui ont été retrouvés échoués sur les côtes de Ribeira en février dernier. Selon des sources proches de l'enquête, ces deux avions planeurs retrouvés au mois de Janvier sont également suspectés d'être partie prenante dans ce qui semble être un trafic de drogue international. Les appareils auraient tous été préparés pour une opération de déchargement de stupéfiants transportés par le sous-marin.
L'alerte à l'apparition du bathyscaphe a été donnée par des marins qui pêchaient dans la zone. La Garde civile a été prévenue par un navire de pêche vers 10h15 ce lundi.
La surveillance douanière et la Garde civile se sont rendues sur place, ainsi que le navire de sauvetage maritime "Salvamar Sargadelos", basé à Ribeira, pour prêter assistance en cas de déversement de carburant.
Des sources de la surveillance douanière ont confirmé que l'embarcation était désormais complètement immergée et que leurs équipes ont pu descendre un drone sous-marin pour confirmer qu'il s'agissait bien d'un sous-marin artisanal fermé, tout comme le "narco-sous-marin" retrouvé au large des côtes d'Aldán en novembre 2019 nous apprends Telecinco.
On ne connaît pas encore les circonstances de l'immersion de l'embarcation et tout porte à croire qu'il n'y a personne à bord. Cependant, ce sont les enquêteurs qui détermineront si les plongeurs peuvent accéder au sous-marin pour vérifier s'il transporte de la drogue ou une équipe à bord. Il reste également à déterminer l'opération pour renflouer et remorquer l'embarcation jusqu'à un port, car les conditions de mer et de vent (une alerte orange a été décrétée en début de semaine sur la zone d'opération) peuvent compliquer les manœuvres.
En plus de l'opération en mer, un important dispositif de forces de sécurité a été déployé à Vilaxoán. Des agents de la Police nationale, de l'UCO de la Garde civile et de l'Agence des douanes, avec des moyens terrestres et aériens, sont sur place pour assurer la sécurité de la zone.
