Dans un premier temps, les enquêteurs ont retrouvé une jambe...
La police de Zilina, en Slovaquie, a fait une découverte effroyable à laquelle elle ne s'attendait pas. Alors que le propriétaire d'un centre animalier était porté disparu, les forces de l'ordre ont dû enquêter au sein de l'enclos des lions.
"Nous avons reçu un signalement indiquant qu'un homme n'était pas revenu de l'enclos des animaux exotiques. Toutes les mesures nécessaires ont été prises sur place pour sécuriser les lieux", a déclaré la porte-parole de la direction régionale de la police à Aktuality, un site d'information slovaque avant d'être relayé par le TDN.
N'étant pas en mesure d'entrer directement dans l'enclos sans mettre leur vie en danger, les autorités ont décidé de faire appel à des vétérinaires pour endormir les lions et les neutraliser. Dans un premier temps, les enquêteurs ont retrouvé une jambe, puis d'autres morceaux d'un corps humain ont été découverts, selon l'agence de presse Belga. "Une fois que l'enclos des animaux a été sécurisé, nous avons identifié des parties de corps humain. Un médecin a été appelé pour procéder à d'autres actions", a-t-elle ajouté. Selon l'hypothèse la plus probable, le propriétaire a été attaqué alors qu'il nourrissait les lions.
Cependant, cette version des faits doit encore être confirmée. "Pour le moment, nous effectuons toutes les actions préliminaires sur place, mais il n'est pas possible de fournir plus d'informations", a expliqué la police. L'autopsie permettra de déterminer les circonstances exactes du décès de la victime.
Selon Aktuality, le centre animalier se présentait comme un "ranch" et était impliqué dans un commerce illégal de tigres. L'établissement avait été contrôlé pour la dernière fois en 2020 et avait été condamné à une amende pour utilisation illégale du terme "zoo".
Bien qu'une loi interdisant la détention de félins, d'ours et de primates dans ce type de structure soit entrée en vigueur en mars 2022, le "ranch" possédait déjà des lions avant l'application de cette loi, qui n'a pas de caractère rétroactif.
Selon le ministère de l'Environnement slovaque, ce drame tragique justifie la nécessité d'une telle loi : "C'est aussi un passe-temps dangereux, comme en témoigne cette tragédie et d'autres accidents similaires. C'est pourquoi le ministère s'efforce de réglementer au maximum le commerce et l'élevage de ces animaux."
"Nous avons reçu un signalement indiquant qu'un homme n'était pas revenu de l'enclos des animaux exotiques. Toutes les mesures nécessaires ont été prises sur place pour sécuriser les lieux", a déclaré la porte-parole de la direction régionale de la police à Aktuality, un site d'information slovaque avant d'être relayé par le TDN.
N'étant pas en mesure d'entrer directement dans l'enclos sans mettre leur vie en danger, les autorités ont décidé de faire appel à des vétérinaires pour endormir les lions et les neutraliser. Dans un premier temps, les enquêteurs ont retrouvé une jambe, puis d'autres morceaux d'un corps humain ont été découverts, selon l'agence de presse Belga. "Une fois que l'enclos des animaux a été sécurisé, nous avons identifié des parties de corps humain. Un médecin a été appelé pour procéder à d'autres actions", a-t-elle ajouté. Selon l'hypothèse la plus probable, le propriétaire a été attaqué alors qu'il nourrissait les lions.
Cependant, cette version des faits doit encore être confirmée. "Pour le moment, nous effectuons toutes les actions préliminaires sur place, mais il n'est pas possible de fournir plus d'informations", a expliqué la police. L'autopsie permettra de déterminer les circonstances exactes du décès de la victime.
Selon Aktuality, le centre animalier se présentait comme un "ranch" et était impliqué dans un commerce illégal de tigres. L'établissement avait été contrôlé pour la dernière fois en 2020 et avait été condamné à une amende pour utilisation illégale du terme "zoo".
Bien qu'une loi interdisant la détention de félins, d'ours et de primates dans ce type de structure soit entrée en vigueur en mars 2022, le "ranch" possédait déjà des lions avant l'application de cette loi, qui n'a pas de caractère rétroactif.
Selon le ministère de l'Environnement slovaque, ce drame tragique justifie la nécessité d'une telle loi : "C'est aussi un passe-temps dangereux, comme en témoigne cette tragédie et d'autres accidents similaires. C'est pourquoi le ministère s'efforce de réglementer au maximum le commerce et l'élevage de ces animaux."
