La vidéo a déjà été vue plus d'un million de fois, soulevant une indignation générale. Pour l'instant on ne connait pas les circonstances exactes qui ont pu pousser la cliente à un telle violence verbale envers la caissière du supermarché.
Samedi la mise en cause avait cependant tenté une explication dans un message audio également relayé sur Twitter affirmant avoir été insultée par la caissière et se défendant d'être raciste : " Je suis de conviction musulmane, je suis Africaine comme elle ( ndlr: la caissière), mais le problème c’est qu’il faut qu’ils arrêtent de se cacher derrière leur pseudo-racisme, alors que ce sont eux qui attaquent les gens ".
Pour rappel les propos proférés par la cliente...: "Sale négresse va, sale Noire! Y a que les Noirs pour faire ça. Tu vois les Africains comme toi, ça donne envie de les tuer".
La cliente a donc été identifiée et convoquée puis placée en garde à vue selon le procureur de Thonon, Bruno Badré, qui a déclaré : " La personne mise en cause, convoquée ce jour ' ndlr: hier mardi) par les enquêteurs, s’est présentée au commissariat en fin d’après-midi. Elle a été placée en garde à vue ".
Samedi la mise en cause avait cependant tenté une explication dans un message audio également relayé sur Twitter affirmant avoir été insultée par la caissière et se défendant d'être raciste : " Je suis de conviction musulmane, je suis Africaine comme elle ( ndlr: la caissière), mais le problème c’est qu’il faut qu’ils arrêtent de se cacher derrière leur pseudo-racisme, alors que ce sont eux qui attaquent les gens ".
Pour rappel les propos proférés par la cliente...: "Sale négresse va, sale Noire! Y a que les Noirs pour faire ça. Tu vois les Africains comme toi, ça donne envie de les tuer".
La cliente a donc été identifiée et convoquée puis placée en garde à vue selon le procureur de Thonon, Bruno Badré, qui a déclaré : " La personne mise en cause, convoquée ce jour ' ndlr: hier mardi) par les enquêteurs, s’est présentée au commissariat en fin d’après-midi. Elle a été placée en garde à vue ".
