Une situation embarrassante pour le Parlement qui a été largement médiatisée ces derniers jours
Interrogé par le journal local The Indian Express, Jadab Lal Nath a nié les faits qui lui sont reprochés. Il a déclaré que ce n'était pas de sa faute et qu'il avait reçu des appels répétés. Après avoir répondu à un des appels, ces contenus pornographiques auraient commencé à être diffusées sur son téléphone. Il aurait éteint rapidement ces vidéos, mais la vidéo de l'homme politique en train de regarder du contenu pour adultes partagée sur les réseaux sociaux.
Malgré sa justification, l'opposition n'a pas été convaincue et a réclamé des sanctions appropriées et sévères, telles que l'interdiction de participer aux élections pendant les six prochaines années. Cette affaire n'est pas sans rappeler celle de 2012, où trois hommes politiques avaient été contraints de démissionner après des faits similaires.
Cette situation a mis le Parlement indien dans l'embarras, surtout que Jadab Lal Nath est un homme politique important au sein du parti majoritaire BJP. Elle a également soulevé des questions sur la surveillance et la discipline au Parlement, car il est interdit de consulter des sites pornographiques dans l'enceinte du bâtiment.
Les réactions sur les réseaux sociaux ont été nombreuses et ont montré la colère et l'indignation du public face à un comportement jugé inapproprié et irrespectueux.
Malgré sa justification, l'opposition n'a pas été convaincue et a réclamé des sanctions appropriées et sévères, telles que l'interdiction de participer aux élections pendant les six prochaines années. Cette affaire n'est pas sans rappeler celle de 2012, où trois hommes politiques avaient été contraints de démissionner après des faits similaires.
Cette situation a mis le Parlement indien dans l'embarras, surtout que Jadab Lal Nath est un homme politique important au sein du parti majoritaire BJP. Elle a également soulevé des questions sur la surveillance et la discipline au Parlement, car il est interdit de consulter des sites pornographiques dans l'enceinte du bâtiment.
Les réactions sur les réseaux sociaux ont été nombreuses et ont montré la colère et l'indignation du public face à un comportement jugé inapproprié et irrespectueux.