“ Le traumatisme reste intact ”.
Dans une story Instagram, l’ex-reine de beauté raconte avoir “redécouvert ces images 14 ans plus tard”. Elle rappelle qu’à l’époque, elle n’avait que 20 ans et qu’aujourd’hui, malgré ses 34 ans, “le traumatisme reste intact”.
La vidéo, largement diffusée notamment sur X, montre le comédien se pencher vers elle pour l’embrasser sur la bouche, la tenant par la tête alors qu’elle tente visiblement de se dégager. Un geste qui, juridiquement, s’apparente à une agression sexuelle en l’absence de consentement.
Laury Thilleman explique pourquoi elle n’avait jamais évoqué cet épisode auparavant : “ J’avais honte. Je me sentais humiliée, réduite à un objet, incapable de réagir. Alors, pour sauver les apparences, j’ai fait semblant d’en rire, comme tout le monde autour de la table. Mais je n’étais pas d’accord.”
Elle ajoute avoir été paralysée par la peur et la honte, dans un contexte où le sujet du consentement était encore peu abordé : “ Je n’ai rien dit, je n’ai rien fait. Aujourd’hui, je parle pour toutes celles et ceux qui n’ont pas pu le faire.”
Cette prise de parole s’inscrit dans un climat déjà tendu autour d’Ary Abittan. Depuis dimanche, une controverse enfle après la diffusion d’une vidéo montrant Brigitte Macron lui apportant son soutien lors d’un spectacle. La Première dame y affirme vouloir “foutre dehors” les “sales connes” de militantes féministes susceptibles de perturber la représentation.
La veille, plusieurs militantes avaient été expulsées de la salle après avoir scandé “Abittan violeur”, en référence à l’enquête pour viol ouverte en 2021, qui s’est conclue par un non-lieu confirmé en appel.
En réaction aux mots de Laury Thilleman, Judith Godrèche a publié un message sur Instagram :
“Nous sommes une foule de #salesconnes”, écrit l’actrice, saluant ainsi le témoignage de l’ancienne Miss France.
La vidéo, largement diffusée notamment sur X, montre le comédien se pencher vers elle pour l’embrasser sur la bouche, la tenant par la tête alors qu’elle tente visiblement de se dégager. Un geste qui, juridiquement, s’apparente à une agression sexuelle en l’absence de consentement.
Laury Thilleman explique pourquoi elle n’avait jamais évoqué cet épisode auparavant : “ J’avais honte. Je me sentais humiliée, réduite à un objet, incapable de réagir. Alors, pour sauver les apparences, j’ai fait semblant d’en rire, comme tout le monde autour de la table. Mais je n’étais pas d’accord.”
Elle ajoute avoir été paralysée par la peur et la honte, dans un contexte où le sujet du consentement était encore peu abordé : “ Je n’ai rien dit, je n’ai rien fait. Aujourd’hui, je parle pour toutes celles et ceux qui n’ont pas pu le faire.”
Cette prise de parole s’inscrit dans un climat déjà tendu autour d’Ary Abittan. Depuis dimanche, une controverse enfle après la diffusion d’une vidéo montrant Brigitte Macron lui apportant son soutien lors d’un spectacle. La Première dame y affirme vouloir “foutre dehors” les “sales connes” de militantes féministes susceptibles de perturber la représentation.
La veille, plusieurs militantes avaient été expulsées de la salle après avoir scandé “Abittan violeur”, en référence à l’enquête pour viol ouverte en 2021, qui s’est conclue par un non-lieu confirmé en appel.
En réaction aux mots de Laury Thilleman, Judith Godrèche a publié un message sur Instagram :
“Nous sommes une foule de #salesconnes”, écrit l’actrice, saluant ainsi le témoignage de l’ancienne Miss France.
Ary Abittan dans la sauce ?! pic.twitter.com/n0V0FUeLQS
— Klooz (@cklooz) November 1, 2021







