Le 14 août 2025, un Tokyoïte d’une trentaine d’années descendait le mont Rausu avec un ami lorsqu’il s’est retrouvé à environ deux cents mètres devant lui. Vers 11 h, sa trajectoire devient soudainement chaotique selon la montre retrouvée par les autorités : brusque sortie du sentier, descente rapide dans une pente boisée puis déplacements circulaires dans des broussailles denses, indiquant une lutte violente.
Son compagnon affirme avoir entendu un cri inhabituel suivi d’appels à l’aide avant d’apercevoir un ours brun traînant la victime. Le spray anti-ours qu’il tente d’utiliser est presque vide et inefficace, précisent les médias japonais. Les données cardiaques enregistrées montrent que le cœur du randonneur cesse de battre en contrebas du sentier, et la montre reste immobile jusqu’au lendemain matin, où de nouveaux déplacements suggèrent que l’ours est revenu déplacer le corps.
Le 15 août, les secours découvrent une femelle ours brun accompagnée de deux oursons transportant la dépouille. Les trois animaux sont abattus. À proximité, une cache de terre contenant des restes humains est mise au jour, pratique courante chez les ours lorsqu’ils stockent une proie.
Les parents de la victime, arrivés depuis la région du Kansai, ont été invités par la police à ne regarder que le visage tant le corps était méconnaissable. Ils apprennent également que leur fils projetait de se marier, une annonce qu’il n’avait pas encore eu le temps de leur faire.
Son compagnon affirme avoir entendu un cri inhabituel suivi d’appels à l’aide avant d’apercevoir un ours brun traînant la victime. Le spray anti-ours qu’il tente d’utiliser est presque vide et inefficace, précisent les médias japonais. Les données cardiaques enregistrées montrent que le cœur du randonneur cesse de battre en contrebas du sentier, et la montre reste immobile jusqu’au lendemain matin, où de nouveaux déplacements suggèrent que l’ours est revenu déplacer le corps.
Le 15 août, les secours découvrent une femelle ours brun accompagnée de deux oursons transportant la dépouille. Les trois animaux sont abattus. À proximité, une cache de terre contenant des restes humains est mise au jour, pratique courante chez les ours lorsqu’ils stockent une proie.
Les parents de la victime, arrivés depuis la région du Kansai, ont été invités par la police à ne regarder que le visage tant le corps était méconnaissable. Ils apprennent également que leur fils projetait de se marier, une annonce qu’il n’avait pas encore eu le temps de leur faire.








