Xander Fisher, 18 ans, s'est lancé dans une quête personnelle qui défie l'entendement : se tatouer lui-même chaque jour pendant un an. Inspiré par un autre TikToker, @bijan888, Fisher se trouve actuellement au 93ème jour de son défi, avec l'ambition de marquer sa peau de 365 dessins distincts.
Originaire du Nebraska aux Etats-Unis, ce jeune créatif a commencé son périple dans l'art du tatouage en mars dernier, poussé par une envie d'apprendre en pratiquant sur sa propre peau. "Je me souviens avoir commencé sur de la peau artificielle, puis j'ai pensé à essayer sur ma jambe. J'ai fait un petit smiley et j'ai trouvé ça beaucoup plus agréable," confie-t-il à Insider.
Ses vidéos, souvent courtes et dynamiques, offrent un aperçu de son processus créatif quotidien, utilisant uniquement une machine à tatouer, des cartouches et de l'encre. Malgré une réalisation parfois improvisée, comme lorsqu'il tatoue les arches de McDonald's sur sa jambe devant le restaurant, Fisher met un point d'honneur à la sécurité et l'hygiène.
Le projet de Fisher, qui a déjà capté l'attention de 1.8 million de spectateurs sur une vidéo récente, suscite des réactions mitigées. Si de nombreux jeunes le soutiennent dans sa démarche audacieuse, un public plus âgé n'a pas manqué d'exprimer son scepticisme.
Cependant, Fisher, soutenu par ses parents, voit dans ses tatouages une forme de liberté d'expression et d'exploration personnelle, loin des sacralisations traditionnelles.
Son ambition ne s'arrête pas là : devenir tatoueur professionnel et couvrir son corps de tatouages, visage inclus, bien qu'il reste conscient des potentiels obstacles professionnels.
Originaire du Nebraska aux Etats-Unis, ce jeune créatif a commencé son périple dans l'art du tatouage en mars dernier, poussé par une envie d'apprendre en pratiquant sur sa propre peau. "Je me souviens avoir commencé sur de la peau artificielle, puis j'ai pensé à essayer sur ma jambe. J'ai fait un petit smiley et j'ai trouvé ça beaucoup plus agréable," confie-t-il à Insider.
Ses vidéos, souvent courtes et dynamiques, offrent un aperçu de son processus créatif quotidien, utilisant uniquement une machine à tatouer, des cartouches et de l'encre. Malgré une réalisation parfois improvisée, comme lorsqu'il tatoue les arches de McDonald's sur sa jambe devant le restaurant, Fisher met un point d'honneur à la sécurité et l'hygiène.
Le projet de Fisher, qui a déjà capté l'attention de 1.8 million de spectateurs sur une vidéo récente, suscite des réactions mitigées. Si de nombreux jeunes le soutiennent dans sa démarche audacieuse, un public plus âgé n'a pas manqué d'exprimer son scepticisme.
Cependant, Fisher, soutenu par ses parents, voit dans ses tatouages une forme de liberté d'expression et d'exploration personnelle, loin des sacralisations traditionnelles.
Son ambition ne s'arrête pas là : devenir tatoueur professionnel et couvrir son corps de tatouages, visage inclus, bien qu'il reste conscient des potentiels obstacles professionnels.
