Quand le ridicule surpasse la caricature
Un montage original 7mag.re
« C’est du cyber-harcèlement… On peut très bien rire sans être humiliant… »
Sandrine Rousseau réagit au “compte Twitter parodique” « Sardine Ruisseau »#Quotidien pic.twitter.com/COUW1uVPs8
— Quotidien (@Qofficiel) August 31, 2022
Les sorties médiatiques de la députée écologiste sont réputées clivantes. Mais l'intervention hier de Sandrine Rousseau sur le plateau de Quotidien révèle une nouvelle dynamique : la députée se plaignant d'être harcelée par un compte satyrique lui étant dédié ayant plus d'audience qu'elle.
Sandrine Rousseau avec ses 97 000 followers et Sardine Ruisseau avec ses 113 000 abonnés laissent effectivement planner le doute quant à la véracité d'un post. Les contenus postés demandant souvent aux utilisateurs de la plateforme d'être vigilants en vérifiant si l'auteur du post est l'original ou la caricature.
Elle est revenue hier sur le plateau de Quotidien diffusé sur TMC sur ce qu'elle qualifie de "harcèlement", soulevant au passage la question du droit à la caricature, de la liberté d'expression, du cyberharcèlement et de l'impunité des "trolls".
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