L'élément le plus controversé de cette nouvelle gamme est un bas féminin au design particulièrement moulant et échancré. Lauren Fleshman, ancienne championne américaine du 5.000 mètres, s'est indignée sur les réseaux sociaux contre ce qu'elle considère comme une tenue régressive.
"Les athlètes professionnelles devraient pouvoir concourir sans avoir à se préoccuper de leur épilation pubienne ou de l'exposition de leurs parties intimes," a-t-elle exprimé, ajoutant que cette conception était le fruit de "forces patriarcales dépassées".
Face à l'ampleur de la critique, l'USATF (Fédération américaine d'athlétisme) a rapidement tenté de calmer les esprits. Dans un communiqué officiel, l'organisation a précisé que les tenues incriminées n'étaient que deux des nombreuses options disponibles, les athlètes disposant en effet de cinquante pièces uniques pour composer leurs uniformes pendant les Jeux.
Colleen Quingley, coureuse de demi-fond et détentrice du record du monde du relais 4x1500 mètres, a également critiqué les équipements pour leur manque de fonctionnalité. "Ces tenues ne sont absolument pas conçues pour la performance", a-t-elle déclaré, ajoutant du poids à la fronde contre Nike.
Pourtant, certaines voix au sein de la communauté athlétique tentent de modérer le débat. Katie Moon, championne olympique en titre du saut à la perche et adepte du type de bas controversé, a exprimé sa surprise face à la polémique, tout en soulignant la diversité des choix disponibles.
Lors de la présentation officielle des tenues, Sha'Carri Richardson, étoile du sprint mondial, avait opté pour une version avec short, illustrant ainsi la variété des combinaisons possibles.
L'USATF insiste sur le fait que Nike a mené des consultations avec les athlètes pour s'assurer que les tenues soient confortables et adaptées aux différentes épreuves.
"Les athlètes professionnelles devraient pouvoir concourir sans avoir à se préoccuper de leur épilation pubienne ou de l'exposition de leurs parties intimes," a-t-elle exprimé, ajoutant que cette conception était le fruit de "forces patriarcales dépassées".
Face à l'ampleur de la critique, l'USATF (Fédération américaine d'athlétisme) a rapidement tenté de calmer les esprits. Dans un communiqué officiel, l'organisation a précisé que les tenues incriminées n'étaient que deux des nombreuses options disponibles, les athlètes disposant en effet de cinquante pièces uniques pour composer leurs uniformes pendant les Jeux.
Colleen Quingley, coureuse de demi-fond et détentrice du record du monde du relais 4x1500 mètres, a également critiqué les équipements pour leur manque de fonctionnalité. "Ces tenues ne sont absolument pas conçues pour la performance", a-t-elle déclaré, ajoutant du poids à la fronde contre Nike.
Pourtant, certaines voix au sein de la communauté athlétique tentent de modérer le débat. Katie Moon, championne olympique en titre du saut à la perche et adepte du type de bas controversé, a exprimé sa surprise face à la polémique, tout en soulignant la diversité des choix disponibles.
Lors de la présentation officielle des tenues, Sha'Carri Richardson, étoile du sprint mondial, avait opté pour une version avec short, illustrant ainsi la variété des combinaisons possibles.
L'USATF insiste sur le fait que Nike a mené des consultations avec les athlètes pour s'assurer que les tenues soient confortables et adaptées aux différentes épreuves.