
Capture Instagram Vatican
Léon XIV est le tout premier pape made in USA ! Il est également péruvien, mais c’est surtout sa nationalité américaine qui titille les contrôleurs fiscaux de l’Oncle Sam. Car aux États-Unis, l'impôt n’a pas de frontières : que vous soyez boulanger à Brooklyn ou pape à Rome, si vous avez un passeport étoilé, vous êtes bon pour la déclaration 1040.
Tout part d’un acronyme peu glamour mais redoutable : FATCA (Foreign Account Tax Compliance Act). Une loi signée en 2010 par Washington pour traquer les comptes cachés à l’étranger. Et devinez quoi ? Pas d’exception pour les chefs d’État, les yogis illuminés ou même les successeurs de Saint Pierre.
Le pape est donc théoriquement dans le collimateur. Même un souverain pontife peut recevoir une lettre recommandée de l’IRS. Alors, Léon XIV devra-t-il remplir sa déclaration fiscale? Difficile à dire. Certes, il ne touche pas de salaire, mais il bénéficie de menus avantages : logement avec vue imprenable sur la place Saint-Pierre, voiture avec vitres blindées, garde suisse personnelle... Autant dire que l’IRS pourrait lui demander de chiffrer ces "avantages en nature".
Mais bonne nouvelle : entre son immunité diplomatique, son absence probable de compte en Suisse et son statut de chef d’État, l’imposition semble hautement improbable.
Tout part d’un acronyme peu glamour mais redoutable : FATCA (Foreign Account Tax Compliance Act). Une loi signée en 2010 par Washington pour traquer les comptes cachés à l’étranger. Et devinez quoi ? Pas d’exception pour les chefs d’État, les yogis illuminés ou même les successeurs de Saint Pierre.
Le pape est donc théoriquement dans le collimateur. Même un souverain pontife peut recevoir une lettre recommandée de l’IRS. Alors, Léon XIV devra-t-il remplir sa déclaration fiscale? Difficile à dire. Certes, il ne touche pas de salaire, mais il bénéficie de menus avantages : logement avec vue imprenable sur la place Saint-Pierre, voiture avec vitres blindées, garde suisse personnelle... Autant dire que l’IRS pourrait lui demander de chiffrer ces "avantages en nature".
Mais bonne nouvelle : entre son immunité diplomatique, son absence probable de compte en Suisse et son statut de chef d’État, l’imposition semble hautement improbable.