Photo : illustration
Simon Bramhall a reconnu les faits et plaidé coupable d'avoir tatoué le foie de ses patients de ses initiales SB. Deux patients à ce jour ont été identifiés comme victimes, ils seraient les seuls à priori à avoir subi ce traitement aussi inutile que dégradant.
Les faits se sont passés alors que le chirurgien effectuait une transplantation en 2013. Il a avoué avoir réalisé ce tatouage a l'aide d'un laser au gaz argon, un instrument qui permet habituellement d'éviter les hémorragies.
L'une des victimes a pu se rendre compte de ce geste médical insensé lors d'une opération de suivi.
Les faits se sont passés alors que le chirurgien effectuait une transplantation en 2013. Il a avoué avoir réalisé ce tatouage a l'aide d'un laser au gaz argon, un instrument qui permet habituellement d'éviter les hémorragies.
L'une des victimes a pu se rendre compte de ce geste médical insensé lors d'une opération de suivi.