
Le paracétamol, principe actif du Doliprane, est reconnu pour son efficacité contre les douleurs modérées et les états fébriles. Utilisé de façon appropriée, il est bien toléré et présente peu d’effets secondaires. C’est justement sa banalisation qui peut poser problème. En effet, de nombreuses personnes ignorent les règles de dosage ou multiplient les prises en associant, sans le savoir, plusieurs médicaments contenant la même molécule. Ces erreurs, souvent involontaires, peuvent entraîner une surcharge toxique pour l’organisme.
Le principal danger du Doliprane réside dans son impact sur le foie. En cas de surdosage, même modéré mais répété, le paracétamol libère des substances nocives pour les cellules hépatiques. Cette toxicité peut provoquer une atteinte grave du foie, parfois irréversible, et dans certains cas extrêmes, conduire à une transplantation hépatique. Chaque année, des hospitalisations sont enregistrées à cause d’un usage inapproprié de ce médicament pourtant en apparence inoffensif.
La vigilance doit être renforcée dans certaines situations. Les personnes souffrant de maladies du foie, les consommateurs réguliers d’alcool, les femmes enceintes ou les individus âgés doivent être particulièrement prudents. Chez l’enfant, le Doliprane est largement utilisé, mais là encore, un calcul rigoureux de la dose en fonction du poids est impératif. Le risque ne vient pas de la molécule elle-même, mais de son mésusage.
Il est important de rappeler que le Doliprane ne doit jamais être pris à la légère, même s’il est accessible sans prescription. L’automédication, quand elle est mal encadrée, peut transformer un traitement bénéfique en produit dangereux. En cas de doute, de douleurs persistantes ou de fièvre prolongée, il est toujours préférable de consulter un professionnel de santé.
Le principal danger du Doliprane réside dans son impact sur le foie. En cas de surdosage, même modéré mais répété, le paracétamol libère des substances nocives pour les cellules hépatiques. Cette toxicité peut provoquer une atteinte grave du foie, parfois irréversible, et dans certains cas extrêmes, conduire à une transplantation hépatique. Chaque année, des hospitalisations sont enregistrées à cause d’un usage inapproprié de ce médicament pourtant en apparence inoffensif.
La vigilance doit être renforcée dans certaines situations. Les personnes souffrant de maladies du foie, les consommateurs réguliers d’alcool, les femmes enceintes ou les individus âgés doivent être particulièrement prudents. Chez l’enfant, le Doliprane est largement utilisé, mais là encore, un calcul rigoureux de la dose en fonction du poids est impératif. Le risque ne vient pas de la molécule elle-même, mais de son mésusage.
Il est important de rappeler que le Doliprane ne doit jamais être pris à la légère, même s’il est accessible sans prescription. L’automédication, quand elle est mal encadrée, peut transformer un traitement bénéfique en produit dangereux. En cas de doute, de douleurs persistantes ou de fièvre prolongée, il est toujours préférable de consulter un professionnel de santé.