"Notre non-binaire qui êtes aux cieux"
Cette initiative est une réponse à la demande croissante pour plus d'inclusivité dans la désignation de Dieu. Une information TDN.
Le projet a été lancé suite à une réflexion de la révérende Joanna Stobart, qui souhaite un "langage plus inclusif " dans l'Église d'Angleterre, incluant une manière "non-genrée" de faire référence à Dieu. Les premières critiques ont été formulées par le révérend Ian Paul, proche de la branche conservatrice de l'Église. Selon lui, tout changement représenterait un abandon de la doctrine même de l'Église et ne serait plus fondée sur les Écritures.
Un porte-parole de l'Église d'Angleterre a toutefois précisé qu'aucun plan n'était en place pour "abolir ou réviser substantiellement les liturgies actuellement autorisées". Il a également indiqué que ce sujet de la neutralité de genre pour désigner Dieu a suscité un certain intérêt au cours des 20 dernières années, bien que cela date en réalité d'une époque plus lointaine.
Les chrétiens reconnaissent depuis l'Antiquité que Dieu n'est ni un homme ni une femme, mais selon le porte-parole de l'Église, "la diversité des manières de s'adresser à Dieu et de le décrire que l'on trouve dans les Écritures ne s'est pas toujours reflétée dans notre culte".
Pour répondre à ces interrogations, la commission liturgique travaillera avec la commission Foi et Constitution pour une analyse approfondie sur les cinq prochaines années. L'Église Anglicane avance lentement mais sûrement vers un langage plus inclusif pour désigner Dieu.
Le projet a été lancé suite à une réflexion de la révérende Joanna Stobart, qui souhaite un "langage plus inclusif " dans l'Église d'Angleterre, incluant une manière "non-genrée" de faire référence à Dieu. Les premières critiques ont été formulées par le révérend Ian Paul, proche de la branche conservatrice de l'Église. Selon lui, tout changement représenterait un abandon de la doctrine même de l'Église et ne serait plus fondée sur les Écritures.
Un porte-parole de l'Église d'Angleterre a toutefois précisé qu'aucun plan n'était en place pour "abolir ou réviser substantiellement les liturgies actuellement autorisées". Il a également indiqué que ce sujet de la neutralité de genre pour désigner Dieu a suscité un certain intérêt au cours des 20 dernières années, bien que cela date en réalité d'une époque plus lointaine.
Les chrétiens reconnaissent depuis l'Antiquité que Dieu n'est ni un homme ni une femme, mais selon le porte-parole de l'Église, "la diversité des manières de s'adresser à Dieu et de le décrire que l'on trouve dans les Écritures ne s'est pas toujours reflétée dans notre culte".
Pour répondre à ces interrogations, la commission liturgique travaillera avec la commission Foi et Constitution pour une analyse approfondie sur les cinq prochaines années. L'Église Anglicane avance lentement mais sûrement vers un langage plus inclusif pour désigner Dieu.