Charmaine, une mère de 42 ans, dont la vie a été bouleversée lorsque son domicile a été envahi par un gang armé qui a ciblé sa fille pour un viol collectif, exprime un soulagement amer. "Ma fille pourra maintenant trouver la paix", confie-t-elle, épuisée par le traumatisme et le désespoir.
La banlieue de Durban était sous le joug d'un gang de jeunes hommes âgés de 18 à 22 ans, responsables d'une série de crimes violents, y compris au moins cinq meurtres. Armés jusqu'aux dents, ils semaient la peur parmi les habitants et avaient contraint trois familles à abandonner leurs foyers.
Leur règne de terreur a pris fin dans un échange de tirs avec une unité spéciale de la police de la province du KwaZulu-Natal, qui a été mobilisée suite à un viol collectif perpétré en présence de la mère et de la sœur de la victime. Neuf des membres du gang ont été abattus dans ce qui a été décrit par les locaux comme un "abattoir".
La police a agi avec rapidité et détermination. Le gang a commis l'erreur fatale d'ouvrir le feu en premier, provoquant une riposte dévastatrice qui a mis fin à la vie des neuf criminels à l'intérieur de leur quartier général.
Les familles des membres du gang décédés ont dû passer devant une douzaine de véhicules de police et des équipes de pathologie pour identifier les corps ensanglantés de leurs proches. Mais pour Charmaine, cette intervention policière signifie un retour à l'ordre inespéré dans un quartier autrefois paisible.
La mère, dont l'identité reste protégée pour la sécurité de sa fille, a partagé ses espoirs quant à leur guérison, malgré la douleur indescriptible d'avoir été témoin du viol de sa fille. "Cela ne changera pas ce qui s'est passé, mais cela apportera une conclusion à ma fille et à nous tous en tant que famille", a-t-elle déclaré aux journalistes.
La police du KwaZulu-Natal a confirmé que les suspects faisaient l'objet d'une enquête pour une série de crimes graves et violents dans la région, y compris meurtre, viol, vols à main armée, et cambriolages. L'unité d'intervention a été saluée pour son action décisive, envoyant un message clair aux autres membres potentiels du gang et à la communauté criminelle en général.
La banlieue de Durban était sous le joug d'un gang de jeunes hommes âgés de 18 à 22 ans, responsables d'une série de crimes violents, y compris au moins cinq meurtres. Armés jusqu'aux dents, ils semaient la peur parmi les habitants et avaient contraint trois familles à abandonner leurs foyers.
Leur règne de terreur a pris fin dans un échange de tirs avec une unité spéciale de la police de la province du KwaZulu-Natal, qui a été mobilisée suite à un viol collectif perpétré en présence de la mère et de la sœur de la victime. Neuf des membres du gang ont été abattus dans ce qui a été décrit par les locaux comme un "abattoir".
La police a agi avec rapidité et détermination. Le gang a commis l'erreur fatale d'ouvrir le feu en premier, provoquant une riposte dévastatrice qui a mis fin à la vie des neuf criminels à l'intérieur de leur quartier général.
Les familles des membres du gang décédés ont dû passer devant une douzaine de véhicules de police et des équipes de pathologie pour identifier les corps ensanglantés de leurs proches. Mais pour Charmaine, cette intervention policière signifie un retour à l'ordre inespéré dans un quartier autrefois paisible.
La mère, dont l'identité reste protégée pour la sécurité de sa fille, a partagé ses espoirs quant à leur guérison, malgré la douleur indescriptible d'avoir été témoin du viol de sa fille. "Cela ne changera pas ce qui s'est passé, mais cela apportera une conclusion à ma fille et à nous tous en tant que famille", a-t-elle déclaré aux journalistes.
La police du KwaZulu-Natal a confirmé que les suspects faisaient l'objet d'une enquête pour une série de crimes graves et violents dans la région, y compris meurtre, viol, vols à main armée, et cambriolages. L'unité d'intervention a été saluée pour son action décisive, envoyant un message clair aux autres membres potentiels du gang et à la communauté criminelle en général.
