C'est dans l'Ain, à Replonges, qu'un fantôme aurait décidé de déloger les habitants d'un HLM. Un magnétiseur appelé à la rescousse aurait confirmé qu'une présence féminine datant du 19ème siècle se trouve bel et bien dans le logement ! Il faut remonter le temps pour comprendre ce qui pourrait bien se passer. En 2016 l'immeuble a été construit sur les bases d'un hangar désaffecté, qui selon le magnétiseur, contiendrait l'esprit de la femme du 19ème siècle qui est dérangé par les locataires actuels.
Harcelés par des bruits et des mouvements d'objets ce couple veut quitter les lieux, comme le rapporte Le Progrès. Actuellement ils dorment dans une tente sur le balcon pour échapper aux assauts du fantôme. Que se passe t-il exactement? Dans les colonnes du journal, Patricia raconte : " Ça a commencé par des ombres noires. Puis ça s’est amplifié : la lumière s’éteint, la TV s’allume toute seule, le téléphone se crypte, la vaisselle fait du bruit. Les chaussures, le linge, tout était projeté sur le sol ".
L'homme invalide doit être relogé dans un logement adéquat eût égard à son handicap. Le bailleur social pour l'instant ne veut pas entendre parler de cette histoire de fantôme et surtout ne peut trouver de logement substitutif pour l'homme handicapé. Le bailleur précise que l'immeuble est neuf et propre et n'avait auparavant jamais auparavant connu de problèmes. Deux locataires ont précédemment occupé les lieux sans avoir eu la visite du fantôme.
Harcelés par des bruits et des mouvements d'objets ce couple veut quitter les lieux, comme le rapporte Le Progrès. Actuellement ils dorment dans une tente sur le balcon pour échapper aux assauts du fantôme. Que se passe t-il exactement? Dans les colonnes du journal, Patricia raconte : " Ça a commencé par des ombres noires. Puis ça s’est amplifié : la lumière s’éteint, la TV s’allume toute seule, le téléphone se crypte, la vaisselle fait du bruit. Les chaussures, le linge, tout était projeté sur le sol ".
L'homme invalide doit être relogé dans un logement adéquat eût égard à son handicap. Le bailleur social pour l'instant ne veut pas entendre parler de cette histoire de fantôme et surtout ne peut trouver de logement substitutif pour l'homme handicapé. Le bailleur précise que l'immeuble est neuf et propre et n'avait auparavant jamais auparavant connu de problèmes. Deux locataires ont précédemment occupé les lieux sans avoir eu la visite du fantôme.