S’il n’a jamais eu de rôle officiel ni de place dans l’ordre de succession, il a grandi sous les projecteurs, toléré par la monarchie mais toujours à la lisière de son univers feutré.
Adolescent populaire, Marius se passionne très vite pour la mode et le surf. Sa présence sur les réseaux sociaux attire les regards : ses photos décontractées en short de plage, ses soirées entre amis et son goût affiché pour le luxe contrastent avec l’austérité habituelle de la famille royale. Il quitte rapidement la Norvège pour Londres, puis Los Angeles, cultivant une image de jet-setter bohème, entre fêtes mondaines, voyages à l’autre bout du monde et relations amoureuses très commentées.
À Oslo, son style décontracté, ses tatouages et son côté « mauvais garçon » séduisent autant qu’ils dérangent. Son nom reste associé aux frasques de la jeunesse dorée norvégienne : excès, soirées arrosées, fréquentations sulfureuses. S’il tente parfois de se lancer dans des projets plus sérieux, comme une carrière dans la communication ou l’univers de la mode, il peine à se détacher de l’étiquette du fils privilégié en quête d’identité.
Ses relations amoureuses, très exposées, nourrissent l’imaginaire des tabloïds. Tantôt mannequin, tantôt influenceuse, ses compagnes appartiennent toutes au cercle des célébrités scandinaves. Mais derrière le vernis glamour se cache un tempérament réputé impulsif, parfois violent, qui transparaît aujourd’hui dans l’acte d’accusation dressé contre lui.
À 28 ans, Marius Borg Høiby se retrouve rattrapé par une image qu’il a longtemps alimentée malgré lui : celle d’un héritier sans titre, partagé entre la lumière des flashs et ses propres zones d’ombre. Dandy aux airs d’ange blond hier adulé par la presse people, il incarne aujourd’hui la figure du fils scandaleux, dont le destin pourrait bien se jouer dans les salles d’audience plutôt que sur les plages de Malibu.
Adolescent populaire, Marius se passionne très vite pour la mode et le surf. Sa présence sur les réseaux sociaux attire les regards : ses photos décontractées en short de plage, ses soirées entre amis et son goût affiché pour le luxe contrastent avec l’austérité habituelle de la famille royale. Il quitte rapidement la Norvège pour Londres, puis Los Angeles, cultivant une image de jet-setter bohème, entre fêtes mondaines, voyages à l’autre bout du monde et relations amoureuses très commentées.
À Oslo, son style décontracté, ses tatouages et son côté « mauvais garçon » séduisent autant qu’ils dérangent. Son nom reste associé aux frasques de la jeunesse dorée norvégienne : excès, soirées arrosées, fréquentations sulfureuses. S’il tente parfois de se lancer dans des projets plus sérieux, comme une carrière dans la communication ou l’univers de la mode, il peine à se détacher de l’étiquette du fils privilégié en quête d’identité.
Ses relations amoureuses, très exposées, nourrissent l’imaginaire des tabloïds. Tantôt mannequin, tantôt influenceuse, ses compagnes appartiennent toutes au cercle des célébrités scandinaves. Mais derrière le vernis glamour se cache un tempérament réputé impulsif, parfois violent, qui transparaît aujourd’hui dans l’acte d’accusation dressé contre lui.
À 28 ans, Marius Borg Høiby se retrouve rattrapé par une image qu’il a longtemps alimentée malgré lui : celle d’un héritier sans titre, partagé entre la lumière des flashs et ses propres zones d’ombre. Dandy aux airs d’ange blond hier adulé par la presse people, il incarne aujourd’hui la figure du fils scandaleux, dont le destin pourrait bien se jouer dans les salles d’audience plutôt que sur les plages de Malibu.
