Comment une jeune Tamponnaise accède-t-elle à la marche finale d’un prestigieux concours local de mannequins?
Elle faisait déjà tout simplement du mannequinat pour l’agence éponyme et Amida, la directrice de celle-ci, l’a poussée à participer au concours. Elle avoue qu’elle pensait n’avoir aucune chance de gagner, elle souhaitait juste participer. D’ailleurs n’avait-elle pas dit à sa maman de ne pas venir car cela ne servait à rien? La famille s’est cependant retrouvée au grand complet le soir de sa consécration, et son papa y a même été de sa petite larme de fierté.
A-t-elle la grosse tête aujourd’hui?
Nullement de son propre aveu. Elle profite au maximum de ce que sa victoire lui apporte et souhaite se faire remarquer par de grands photographes. La consécration serait d’aller en France, de faire des photos pour Dior ou Chanel…. Aller à Paris et voyager, tel est donc son rêve. Mais au quotidien, la vraie Julie de tous les jours est une jeune femme sans maquillage, en jean et savates mais avec le haut assorti précise-t-elle… Son équilibre, Julie le trouve aussi grâce au sport. Elle s’entraîne assidûment à la boxe Muay thaï, qui se pratique uniquement avec les pieds, les poings, les genoux et les coudes. La belle confesse avoir reçu des coups mais bleuir de moins en moins. Elle devrait d’ailleurs s’envoler pour la Thaïlande pour y faire un stage de perfectionnement. Elle caresse un rêve insolite pour son avenir professionnel: devenir douanier… Les trafiquants risquent de ne pas résister très longtemps à la belle...
C.R.
C.R.
Julie Legros avec sa famille, Christine la maman, Gilbert le papa et Marine la petite soeur de 9 ans