«Je n’oublie pas non plus tous mes camarades de club : Pierre, Didier, David…. Ils sont toujours là pour me servir de sparring-partnes . Il y aussi Evelyne qui n’aime pas me voir recevoir des coups, mais ça, ça fait partie de la boxe…» raconte le jeune Tamponnais du club Baobab. Son club de toujours, aime-t-il à le rappeler, c’est-à-dire là où il a enfilé ses gants pour la première fois, et où il s’est forgé un tempérament de combattant.
«J’ai commencé il y a 7 ans de cela. Les débuts sont toujours difficiles, mais à force d’y croire et de s’accrocher….J’ai eu la chance de tomber sur un bon club, avec un encadrement de qualité. Il faut savoir que Fabrice Mélano est un ancien champion de France. C’est un vrai pédagogue», poursuit le jeune champion qui, d’ailleurs, n’en est pas à son coup d’essai, puisque l’année dernière il avait également conquis le titre national en Classe D. Ses titres de champion de la Réunion trois années (2006, 2007 et 2008) de suite précédant ce passage à l'étage supérieur.
Un nouveau challenge
Avant son combat contre Mourad Harfoui, Guillaume Payet s’est laissé un moment envahir par une certaine appréhension : «Passera, passera pas ?». Une question somme toute logique mais qui a été finalement été évacuée une fois sur le ring. «Je pense que j’étais prêt physiquement et mentalement…. Et le fait d’être chez moi, devant mon public m’a donné une force supplémentaire. Au club on se félicite aussi des efforts faits par la Municiplaité pour soutenir le sport au Tampon».
Le nouveau champion de France des moins de 57 kg avoue ne pas se prendre la tête quand il s’agit de passer à table : «Ma mère n’a pas de souci à ce niveau là : je mange de tout, mais raisonnablement. Je n’ai donc pas de problème de poids. Je mène une vie saine, je ne fume pas, je ne bois pas et je fais mon footing hebdomadaire au parcours de santé de Bel-Air avec mes camarades de club. Bref, je pense que je suis un garçon équilibré».
Guillaume Payet va bientôt franchir une nouvelle étape dans sa vie de tous les jours, estimant que son avenir professionnel se jouera dans les mois à venir. Il se prépare à cet autre challenge qu’il devra concilier avec sa carrière de boxeur thaï. Laquelle se poursuivra encore longtemps, on l’espère tous…..
«J’ai commencé il y a 7 ans de cela. Les débuts sont toujours difficiles, mais à force d’y croire et de s’accrocher….J’ai eu la chance de tomber sur un bon club, avec un encadrement de qualité. Il faut savoir que Fabrice Mélano est un ancien champion de France. C’est un vrai pédagogue», poursuit le jeune champion qui, d’ailleurs, n’en est pas à son coup d’essai, puisque l’année dernière il avait également conquis le titre national en Classe D. Ses titres de champion de la Réunion trois années (2006, 2007 et 2008) de suite précédant ce passage à l'étage supérieur.
Un nouveau challenge
Avant son combat contre Mourad Harfoui, Guillaume Payet s’est laissé un moment envahir par une certaine appréhension : «Passera, passera pas ?». Une question somme toute logique mais qui a été finalement été évacuée une fois sur le ring. «Je pense que j’étais prêt physiquement et mentalement…. Et le fait d’être chez moi, devant mon public m’a donné une force supplémentaire. Au club on se félicite aussi des efforts faits par la Municiplaité pour soutenir le sport au Tampon».
Le nouveau champion de France des moins de 57 kg avoue ne pas se prendre la tête quand il s’agit de passer à table : «Ma mère n’a pas de souci à ce niveau là : je mange de tout, mais raisonnablement. Je n’ai donc pas de problème de poids. Je mène une vie saine, je ne fume pas, je ne bois pas et je fais mon footing hebdomadaire au parcours de santé de Bel-Air avec mes camarades de club. Bref, je pense que je suis un garçon équilibré».
Guillaume Payet va bientôt franchir une nouvelle étape dans sa vie de tous les jours, estimant que son avenir professionnel se jouera dans les mois à venir. Il se prépare à cet autre challenge qu’il devra concilier avec sa carrière de boxeur thaï. Laquelle se poursuivra encore longtemps, on l’espère tous…..







