Fief de la course à pied de la région Est, la Plaine des Palmistes a inauguré le tout nouveau Challenge des relais « Trophées de la Réunion » 2014. Sur les 22 équipes participantes, celles de l'entente du Nord chez les garçons et de la Plaine des Cafres au niveau des féminines qui se sont imposées, prenant du coup la tête dudit challenge dont la prochaine étape sera tout simplement le championnat régional Ekiden.
Attendu sur la plus haute marche du podium, le CAPP s'est fait surprendre par l'Entente du Nord. « Dommage, on a mené jusqu'au 5ème relais . Mais nous avions des absents, et il reste encore des épreuves dans ce challenge », résumait un brin philosophe le président Palmiplainois Michel Bègue.
Les Cafriplainoises ont failli connaître le même sort, mais leur matelas de plus de 7 minutes leur permettait de garder la pôle position, même si elles étaient pénalisées de 3 minutes pour cause de remplacement d'une athlète.
On aura en tout cas relevé la très bonne ambiance qui a régné tout au long de cette matinée à la fraîche concoctée par l'OMS de la localité. Les équipes de Odyssea, « faut pas charier » et autres « Yes we can » ont largement contribué à faire monter la température. Ah, oui, faut pas oublier de donner un gros coup de chapeau aux féminines justement, représentées par 8 équipes. Du jamais vu dans ce relais.
Attendu sur la plus haute marche du podium, le CAPP s'est fait surprendre par l'Entente du Nord. « Dommage, on a mené jusqu'au 5ème relais . Mais nous avions des absents, et il reste encore des épreuves dans ce challenge », résumait un brin philosophe le président Palmiplainois Michel Bègue.
Les Cafriplainoises ont failli connaître le même sort, mais leur matelas de plus de 7 minutes leur permettait de garder la pôle position, même si elles étaient pénalisées de 3 minutes pour cause de remplacement d'une athlète.
On aura en tout cas relevé la très bonne ambiance qui a régné tout au long de cette matinée à la fraîche concoctée par l'OMS de la localité. Les équipes de Odyssea, « faut pas charier » et autres « Yes we can » ont largement contribué à faire monter la température. Ah, oui, faut pas oublier de donner un gros coup de chapeau aux féminines justement, représentées par 8 équipes. Du jamais vu dans ce relais.
Roland Chane
