Voilà un titre qui ne va pas beaucoup plaire aux scolaires, qui préfèrent nettement qu’on leur souhaite de bonnes vacances. Tout a une fin hélas, mais si ça peut les encourager, les prochains congés c’est pour début mars.
En attendant, c’est la rentrée, avec tout ce qui va avec, à commencer les embouteillages. Prions pour qu’il ne pleuve pas trop, sinon ce sera la cata sur la route du littoral. En parlant, il faudrait vraiment que les premiers coups de pioche soient donnés cette année pour la nouvelle route… C’est la rentrée avec tous les dossiers à gérer, et notamment cette foutue crise économique qui donne un sacré coup au moral.
Autrefois, personne ne parlait du triple A, aujourd’hui on ne parle que de ça, comme si le monde s’arrêtait de tourner avec la notation négative donnée à plusieurs pays, dont la France. La question est: où va-t-on, que faire pour aller mieux? La réponse appartient aux décideurs à très haut niveau, mais on a bien l’impression de tourner en rond.
Ce qui intéresse le citoyen lambda, c’est de pouvoir continuer à travailler sereinement et à vivre normalement. Parler autant de crise et de problèmes n’est pas fait pour arranger les choses, et le cercle vicieux continue. L’Etat mène une politique de rigueur, il y a moins d’argent qui circule, les entreprises sont en difficulté, les salariés trinquent, on ne dépense plus autant.... Les élections qui arrivent vont, hélas, freiner encore les choses.
S’il s’agit de la fin d’un monde, il serait temps de penser, là aussi à un haut niveau de décision, à un nouveau monde avec un nouveau mode de fonctionnement économique qui rassurerait les populations. Je parle dans le vide? Peut-être, mais ne pas en parler serait, à mon avis, inconscient.
En attendant, c’est la rentrée, avec tout ce qui va avec, à commencer les embouteillages. Prions pour qu’il ne pleuve pas trop, sinon ce sera la cata sur la route du littoral. En parlant, il faudrait vraiment que les premiers coups de pioche soient donnés cette année pour la nouvelle route… C’est la rentrée avec tous les dossiers à gérer, et notamment cette foutue crise économique qui donne un sacré coup au moral.
Autrefois, personne ne parlait du triple A, aujourd’hui on ne parle que de ça, comme si le monde s’arrêtait de tourner avec la notation négative donnée à plusieurs pays, dont la France. La question est: où va-t-on, que faire pour aller mieux? La réponse appartient aux décideurs à très haut niveau, mais on a bien l’impression de tourner en rond.
Ce qui intéresse le citoyen lambda, c’est de pouvoir continuer à travailler sereinement et à vivre normalement. Parler autant de crise et de problèmes n’est pas fait pour arranger les choses, et le cercle vicieux continue. L’Etat mène une politique de rigueur, il y a moins d’argent qui circule, les entreprises sont en difficulté, les salariés trinquent, on ne dépense plus autant.... Les élections qui arrivent vont, hélas, freiner encore les choses.
S’il s’agit de la fin d’un monde, il serait temps de penser, là aussi à un haut niveau de décision, à un nouveau monde avec un nouveau mode de fonctionnement économique qui rassurerait les populations. Je parle dans le vide? Peut-être, mais ne pas en parler serait, à mon avis, inconscient.