«Apavou veut lever 100 millions d’euros» titrait récemment Le Quotidien en expliquant que le groupe veut lancer une émission d’obligations convertibles en actions afin de récupérer 100 millions d’euros (rien que ça!) pour des opérations de rénovation, de promotion immobilière et de développement hôtelier. Par le passé, il semble qu’Apavou n’ait pas réussi à exploiter des hôtels sur le long terme, puisque la majorité de ses établissements a fermé. A Maurice également, des hôtels Apavou ont été cédés ou mis en gérance. Le Grand Hôtel des Mascareignes, les Aigrettes, le Maharani attendent en vain depuis des années des travaux. «Nous attendons de voir si les retours sont assez importants avant d’aller plus loin» a dit Philippe Puel, le directeur du groupe.
En fait, le groupe lance quelques hameçons pour voir si ça mord, mais trouver 100 millions d’euros est quelque peu ambitieux par les temps qui courent… Quand dans le même temps on apprend, via un article de presse, que les salariés de l’hôtel Le Saint-Denis, qui appartient à Apavou, ont eu leurs salaires avec beaucoup de retard pour cause de saisie sur le compte de l’entreprise, les futurs investisseurs ont de quoi se poser quelques questions. A suivre comme on dit.
En fait, le groupe lance quelques hameçons pour voir si ça mord, mais trouver 100 millions d’euros est quelque peu ambitieux par les temps qui courent… Quand dans le même temps on apprend, via un article de presse, que les salariés de l’hôtel Le Saint-Denis, qui appartient à Apavou, ont eu leurs salaires avec beaucoup de retard pour cause de saisie sur le compte de l’entreprise, les futurs investisseurs ont de quoi se poser quelques questions. A suivre comme on dit.
