Pour cette 2ème semaine en Mongolie, Serge Marizy et Sophie Vallée nous emmènent à la rencontre de la population mongole, un peuple Nomade.
Les Mongols ont su préserver leur mode de vie ancestrale. Peu de concessions sont faites à la modernité, et à part quelques panneaux solaires leur permettant d’avoir accès à l’électricité, la vie des nomades reste d’une extrême simplicité. Les nomades sont des éleveurs qui se déplacent en fonction des pâturages et des saisons. Leur yourte, faite d’une structure légère en bois et de panneaux de feutres fabriqués avec la laine des moutons, est facilement démontable. Son équipement est sommaire et coloré. Les photos d’ancêtres ont toujours une place d’honneur sur la commode.
Les troupeaux, qui vivent en totale liberté, apportent une quasi-autarcie aux éleveurs nomades. La viande de mouton et de bœuf, mais aussi la graisse, font partie de la nourriture de base. Les excréments séchés servent de combustible pour cuire les aliments ou se chauffer. Les éleveurs profitent de l’été pour transformer le lait en toutes sortes de produits. Ils fabriquent du beurre, de la crème, du fromage, de l’alcool de yack et aussi leur boisson nationale, le fameux lait de jument fermenté appelé aïrag.
Le respect de la nature est profondément ancré dans la culture mongole. Les chants omniprésents célèbrent la pureté des rivières ou la majesté des montagnes. L’isolement des nomades a développé chez eux une hospitalité généreuse et chaleureuse. Le voyageur de passage est accueilli à bras ouvert et on tient à lui faire goûter à tout…
L’été, toute la famille est réunie dans le campement d’été. Les étudiants reviennent aider leurs parents et les plus jeunes sont heureux d’échapper à l’internat de leur école de village, qu’ils intègrent dès l’âge de 6 ans. Si les nomades rêvent d’une autre vie pour leurs enfants, ces derniers ne tournent pas seulement leurs espoirs vers l’Occident et le monde moderne, mais ont à cœur de préserver leur culture ancestrale...
Les troupeaux, qui vivent en totale liberté, apportent une quasi-autarcie aux éleveurs nomades. La viande de mouton et de bœuf, mais aussi la graisse, font partie de la nourriture de base. Les excréments séchés servent de combustible pour cuire les aliments ou se chauffer. Les éleveurs profitent de l’été pour transformer le lait en toutes sortes de produits. Ils fabriquent du beurre, de la crème, du fromage, de l’alcool de yack et aussi leur boisson nationale, le fameux lait de jument fermenté appelé aïrag.
Le respect de la nature est profondément ancré dans la culture mongole. Les chants omniprésents célèbrent la pureté des rivières ou la majesté des montagnes. L’isolement des nomades a développé chez eux une hospitalité généreuse et chaleureuse. Le voyageur de passage est accueilli à bras ouvert et on tient à lui faire goûter à tout…
L’été, toute la famille est réunie dans le campement d’été. Les étudiants reviennent aider leurs parents et les plus jeunes sont heureux d’échapper à l’internat de leur école de village, qu’ils intègrent dès l’âge de 6 ans. Si les nomades rêvent d’une autre vie pour leurs enfants, ces derniers ne tournent pas seulement leurs espoirs vers l’Occident et le monde moderne, mais ont à cœur de préserver leur culture ancestrale...
