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Vol spectaculaire de 350 000 euros dans un TGV


BFMTV révèle qu’un couple franco-canadien s’est fait dérober une impressionnante collection de bijoux d’une valeur totale estimée à 350 000 euros dimanche dernier alors qu’il voyageait à bord d’un TGV entre Aix-en-Provence et Paris. Le vol, qualifié d’exceptionnel par plusieurs sources policières, s’est déroulé en pleine journée, en première classe, et sans que les victimes ne s’en aperçoivent immédiatement.


Par Théophile Valombre - Publié le Mercredi 30 Juillet 2025 à 17:12

Photo d'illustration
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Selon les informations recueillies par BFMTV, Alexandra N., cheffe d’entreprise canadienne, et son conjoint Aurélien P. avaient pris place dans le train en gare d’Aix-en-Provence. En partance pour le Canada, la femme transportait sous son siège un sac de marque Louis Vuitton contenant son écrin à bijoux. Peu après le départ, un couple s’est installé derrière eux dans le wagon quasiment vide.

Vers 14h45, Alexandra N. sent une pression sur sa jambe, qu’elle attribue à un objet tombé ou un animal. En réalité, le vol est en cours : la malfrate replace le sac, vidé de son contenu précieux. Les deux voleurs quittent ensuite discrètement le train lors de l’arrêt en gare d’Avignon. Une passagère, intriguée par leur comportement, alerte la femme, qui comprend trop tard ce qui vient de se passer.

Toujours selon BFMTV, le sac contenait une quarantaine de bijoux de luxe, un butin estimé à 350 000 euros, selon les premiers éléments de l’enquête. Pour la victime, interrogé par BFMTV, le choc est immense : « Ce n’est pas qu’une somme colossale, c’est une vie de souvenirs qu’on nous a volée. » Le couple a porté plainte dès son arrivée à la gare de Lyon, à Paris. Ils redoutent désormais de ne pas être indemnisés : « Aucune assurance ne nous couvre. Il aurait fallu un vol avec violence pour qu’il soit pris en charge. »

Si les voleurs ont pu s’éclipser sans heurt, les images de vidéosurveillance de la SNCF, ainsi que les contrôles à l’embarquement, pourraient permettre leur identification. Le couple s’interroge sur la sécurité à bord : « On pensait être en sécurité en première classe. Il se pourrait que la responsabilité de la SNCF soit engagée ».