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Lors d'un briefing, des chercheurs en virologie ont exprimé leurs préoccupations quant à la souche H5N1 de la grippe aviaire, qui serait « dangereusement proche » de déclencher une pandémie. La découverte de plusieurs cas d'infection chez divers mammifères, y compris chez les humains, augmente le risque de mutation du virus vers une forme plus transmissible.
Cependant, certains experts présents lors de la conférence ont appelé à ne pas céder à la panique, soulignant qu'il y avait encore trop d'inconnues concernant les cas récents pour justifier une alarme. Un représentant de la Maison Blanche a affirmé suivre de près la situation de la grippe aviaire aux États-Unis, en prenant « au sérieux la santé et la sécurité du peuple américain ».
Comme rapporté par le Mail Online, la réunion a été convoquée suite à la nouvelle qu'un ouvrier d'une ferme laitière au Texas a été testé positif au virus, avec des cas signalés chez 12 troupeaux de vaches dans six États et trois chats au Texas qui sont décédés par la suite. Les tests effectués sur l'ouvrier ont montré que le virus avait déjà muté pour se propager plus facilement, bien que le CDC (Centre for Disease Control) ait indiqué que cette mutation avait déjà été enregistrée par le passé, que le risque restait faible et qu'il n'y avait aucun signe de transmission d'humain à humain.
Dr Suresh Kuchipudi, un chercheur sur la grippe aviaire, a prévenu que le virus H5N1 présentait plusieurs caractéristiques importantes d'un potentiel virus pandémique. John Fulton, consultant dans l'industrie pharmaceutique, a organisé la réunion après avoir reçu des demandes des médias, soulignant la gravité potentielle de la situation.
L'Organisation mondiale de la santé estime le taux de mortalité du H5N1 à 52 %, basé sur les 462 décès enregistrés depuis 2003 parmi les 887 personnes diagnostiquées avec le virus. En comparaison, la Covid tue actuellement moins de 0,1 % des personnes qu'elle infecte.
Depuis 2020, où la nouvelle souche de grippe aviaire a émergé et s'est répandue dans le monde, sept des 26 personnes infectées par le H5N1 sont décédées, soit près de 30 %.
Des experts alertent sur le fait que dans des cas plus graves mais rares, le H5N1 pourrait infecter les voies respiratoires en déclenchant une pneumonie et affecter d'autres zones, comme les yeux.
Aux Etats-Unis, la Maison Blanche et les agences gouvernementales suivent de près l'évolution de la situation, mettant en œuvre des mesures de prévention et de sécurité pour protéger la population. Le risque de transmission du virus de la grippe aviaire par le lait est considéré comme très faible, la grande majorité du lait étant pasteurisée, ce qui inactive les virus et les bactéries avant sa distribution.
Cependant, certains experts présents lors de la conférence ont appelé à ne pas céder à la panique, soulignant qu'il y avait encore trop d'inconnues concernant les cas récents pour justifier une alarme. Un représentant de la Maison Blanche a affirmé suivre de près la situation de la grippe aviaire aux États-Unis, en prenant « au sérieux la santé et la sécurité du peuple américain ».
Comme rapporté par le Mail Online, la réunion a été convoquée suite à la nouvelle qu'un ouvrier d'une ferme laitière au Texas a été testé positif au virus, avec des cas signalés chez 12 troupeaux de vaches dans six États et trois chats au Texas qui sont décédés par la suite. Les tests effectués sur l'ouvrier ont montré que le virus avait déjà muté pour se propager plus facilement, bien que le CDC (Centre for Disease Control) ait indiqué que cette mutation avait déjà été enregistrée par le passé, que le risque restait faible et qu'il n'y avait aucun signe de transmission d'humain à humain.
Dr Suresh Kuchipudi, un chercheur sur la grippe aviaire, a prévenu que le virus H5N1 présentait plusieurs caractéristiques importantes d'un potentiel virus pandémique. John Fulton, consultant dans l'industrie pharmaceutique, a organisé la réunion après avoir reçu des demandes des médias, soulignant la gravité potentielle de la situation.
L'Organisation mondiale de la santé estime le taux de mortalité du H5N1 à 52 %, basé sur les 462 décès enregistrés depuis 2003 parmi les 887 personnes diagnostiquées avec le virus. En comparaison, la Covid tue actuellement moins de 0,1 % des personnes qu'elle infecte.
Depuis 2020, où la nouvelle souche de grippe aviaire a émergé et s'est répandue dans le monde, sept des 26 personnes infectées par le H5N1 sont décédées, soit près de 30 %.
Des experts alertent sur le fait que dans des cas plus graves mais rares, le H5N1 pourrait infecter les voies respiratoires en déclenchant une pneumonie et affecter d'autres zones, comme les yeux.
Aux Etats-Unis, la Maison Blanche et les agences gouvernementales suivent de près l'évolution de la situation, mettant en œuvre des mesures de prévention et de sécurité pour protéger la population. Le risque de transmission du virus de la grippe aviaire par le lait est considéré comme très faible, la grande majorité du lait étant pasteurisée, ce qui inactive les virus et les bactéries avant sa distribution.
