Le vol AF291 a été dérouté suite à la détection d'une odeur suspecte dans la cabine du Boeing 777-200ER, menant l'équipage à appliquer les mesures de précaution recommandées par le constructeur et la compagnie.
Les passagers, bloqués en zone de transit en raison des exigences de visa locales, n'ont pu quitter l'aéroport et ont passé la nuit sur place. Un porte-parole d'Air France a affirmé que les passagers avaient été assistés et nourris, bien que des témoignages sur les réseaux sociaux semblent contester cette version des faits, certains pointant même l'état vétuste de l'avion, âgé de 22 ans.
Face à cette situation, un groupe de passagers a engagé un cabinet d'avocats, arguant qu'ils n'avaient pas pu accéder à des services essentiels tels que nourriture, boissons, ou hébergement hôtelier. Selon les avocats, les passagers sont restés sans assistance directe de la part du personnel d'Air France et sans informations claires pendant plus de 20 heures.
La compagnie a présenté ses excuses pour les désagréments subis et a réitéré que la sécurité des passagers et des équipages reste sa priorité absolue.
Les passagers, bloqués en zone de transit en raison des exigences de visa locales, n'ont pu quitter l'aéroport et ont passé la nuit sur place. Un porte-parole d'Air France a affirmé que les passagers avaient été assistés et nourris, bien que des témoignages sur les réseaux sociaux semblent contester cette version des faits, certains pointant même l'état vétuste de l'avion, âgé de 22 ans.
Face à cette situation, un groupe de passagers a engagé un cabinet d'avocats, arguant qu'ils n'avaient pas pu accéder à des services essentiels tels que nourriture, boissons, ou hébergement hôtelier. Selon les avocats, les passagers sont restés sans assistance directe de la part du personnel d'Air France et sans informations claires pendant plus de 20 heures.
La compagnie a présenté ses excuses pour les désagréments subis et a réitéré que la sécurité des passagers et des équipages reste sa priorité absolue.