Michael Meyden, 57 ans, est visé par trois chefs d'accusation après que les enquêteurs ont déterminé qu'il aurait exposé les amies de sa fille à un médicament sur ordonnance.
Le 26 août 2023, le personnel d'un hôpital local avait alerté la police que trois filles de 12 ans présentaient dans leur sang des traces de médicaments.
Meyden a plaidé non coupable à toutes les charges lors de son audience préliminaire mercredi, d'après The Oregonian.
La police allègue que Meyden avait ajouté des benzodiazépines, des dépresseurs ralentissant le système nerveux, dans des smoothies à la mangue servis aux trois filles pendant la soirée pyjama de sa fille.
Les enquêteurs ont observé que, lorsqu'ils ont interrogé les filles le matin suivant la soirée, l'une d'elles "se déplaçait lentement et avait besoin de l'aide de sa mère pour se tenir debout, ses paupières étaient lourdes et elle parlait lentement."
Les filles ont rapporté à la police que Meyden avait été "très impliqué dans leurs activités durant la soirée" et leur avait préparé des smoothies contenant "de petits morceaux blancs partout et saupoudrés sur le dessus".
L'une des filles a confié à la police ne pas avoir apprécié le smoothie, mais Meyden aurait insisté pour qu'elle le consomme et lui en a préparé un second.
La police a aussi indiqué que, après que les filles soient allées se coucher dans le sous-sol de la maison, Meyden est venu les voir à plusieurs reprises durant la nuit pour vérifier si elles étaient éveillées.
Une des filles a raconté que Meyden l'avait déplacée, mais qu'elle "était restée éveillée par peur de ce que M. Meyden pourrait faire". Après le départ de Meyden, une fille a envoyé un SMS à sa mère vers 1h43 du matin pour demander de l'aide.
La situation a conduit à la détention de Meyden, tandis que l'affaire continue de susciter des inquiétudes dans la communauté.
Le 26 août 2023, le personnel d'un hôpital local avait alerté la police que trois filles de 12 ans présentaient dans leur sang des traces de médicaments.
Meyden a plaidé non coupable à toutes les charges lors de son audience préliminaire mercredi, d'après The Oregonian.
La police allègue que Meyden avait ajouté des benzodiazépines, des dépresseurs ralentissant le système nerveux, dans des smoothies à la mangue servis aux trois filles pendant la soirée pyjama de sa fille.
Les enquêteurs ont observé que, lorsqu'ils ont interrogé les filles le matin suivant la soirée, l'une d'elles "se déplaçait lentement et avait besoin de l'aide de sa mère pour se tenir debout, ses paupières étaient lourdes et elle parlait lentement."
Les filles ont rapporté à la police que Meyden avait été "très impliqué dans leurs activités durant la soirée" et leur avait préparé des smoothies contenant "de petits morceaux blancs partout et saupoudrés sur le dessus".
L'une des filles a confié à la police ne pas avoir apprécié le smoothie, mais Meyden aurait insisté pour qu'elle le consomme et lui en a préparé un second.
La police a aussi indiqué que, après que les filles soient allées se coucher dans le sous-sol de la maison, Meyden est venu les voir à plusieurs reprises durant la nuit pour vérifier si elles étaient éveillées.
Une des filles a raconté que Meyden l'avait déplacée, mais qu'elle "était restée éveillée par peur de ce que M. Meyden pourrait faire". Après le départ de Meyden, une fille a envoyé un SMS à sa mère vers 1h43 du matin pour demander de l'aide.
La situation a conduit à la détention de Meyden, tandis que l'affaire continue de susciter des inquiétudes dans la communauté.
