"Google savait pour le harcèlement continu d'Olohan"
Photo de profil LinkedIn de Ryan Olohan, Photo de profil RocketReach de Tiffany Miller, un montage original 7mag.re
Selon les documents de l'enquête judiciaire, Tiffany Miller, directeur des médias programmatiques de Google, aurait importuné Olohan lors d'une soirée d'entreprise en décembre 2019, en le complimentant sur son physique et en lui disant que son mariage manquait de "piquant" rapporte Les Nouvelles via le New York Post.
Le premier incident aurait eu lieu lors d'un rassemblement d'équipe arrosé peu de temps après que Olohan a été promu directeur général de la santé de la firme. Alors qu'Olohan, un père marié de sept enfants, a déclaré qu'il était mal à l'aise d'évoquer l'incident parce que beaucoup de ses collègues étaient ivres, il affirme avoir signalé le problème au service des ressources humaines de Google la semaine suivante.
Cependant, sa plainte n'a jamais été prise en compte et il affirme que Miller a commencé à exercer des représailles contre lui. Olohan affirme que les représailles se sont poursuivies à un événement organisé par Google en décembre 2021, où Miller l'aurait réprimandé ivre devant ses collègues.
Miller aurait de nouveau réprimandé ivre Olohan lors d'une réunion d'entreprise dans un bar karaoké en avril 2022, où elle aurait réitéré qu'elle savait qu'il préférait les femmes asiatiques aux femmes blanches, sachant que la femme d'Olohan est asiatique.
Le procès d'Olohan consistera en une demande des dommages-intérêts non spécifiés en accuse Google et Miller de discrimination, de harcèlement et de représailles. Il met également en lumière la question de l'environnement de travail hostile pour les employés de Google. La poursuite affirme que "Google savait que le harcèlement continu d'Olohan par Miller découlait de son rejet de ses avances sexuelles, mais n'a pris aucune mesure".
Attention toutefois, si l'affaire fait grand bruit aux Etats-Unis, les allégations de Olohan n'ont pas encore été prouvées et Google a refusé tout commentaire sur l'avancement de l'enquête.
Le premier incident aurait eu lieu lors d'un rassemblement d'équipe arrosé peu de temps après que Olohan a été promu directeur général de la santé de la firme. Alors qu'Olohan, un père marié de sept enfants, a déclaré qu'il était mal à l'aise d'évoquer l'incident parce que beaucoup de ses collègues étaient ivres, il affirme avoir signalé le problème au service des ressources humaines de Google la semaine suivante.
Cependant, sa plainte n'a jamais été prise en compte et il affirme que Miller a commencé à exercer des représailles contre lui. Olohan affirme que les représailles se sont poursuivies à un événement organisé par Google en décembre 2021, où Miller l'aurait réprimandé ivre devant ses collègues.
Miller aurait de nouveau réprimandé ivre Olohan lors d'une réunion d'entreprise dans un bar karaoké en avril 2022, où elle aurait réitéré qu'elle savait qu'il préférait les femmes asiatiques aux femmes blanches, sachant que la femme d'Olohan est asiatique.
Le procès d'Olohan consistera en une demande des dommages-intérêts non spécifiés en accuse Google et Miller de discrimination, de harcèlement et de représailles. Il met également en lumière la question de l'environnement de travail hostile pour les employés de Google. La poursuite affirme que "Google savait que le harcèlement continu d'Olohan par Miller découlait de son rejet de ses avances sexuelles, mais n'a pris aucune mesure".
Attention toutefois, si l'affaire fait grand bruit aux Etats-Unis, les allégations de Olohan n'ont pas encore été prouvées et Google a refusé tout commentaire sur l'avancement de l'enquête.
