Après un accident de voiture en 2017, Grabska avait déclaré souffrir de douleurs débilitantes l'ayant contrainte à un mode de vie sédentaire, incapable de s'adonner à des activités quotidiennes ou de jouer avec ses enfants. Elle avait ainsi réclamé 820 000 dollars à RSA Insurance pour compenser ses souffrances et ses pertes de revenus.
Cependant, le tribunal a été confronté à une preuve accablante contre les affirmations de Grabska lorsqu'une photo d'elle, prise en janvier 2018, a été dévoilée.
Sur ce cliché, la prétendue victime apparait en train de lancer un sapin lors d'un concours de lancer d'arbre de Noël, affichant une agilité qui contredisait ses déclarations de douleurs constantes. Cette photo, publiée dans un journal national, a poussé le juge chargé de l'affaire à qualifier ses réclamations d'"entièrement exagérées".
Le tribunal a donc rejeté sa demande en soulignant l'incohérence entre les dires de Grabska et ses actions capturées en image. En outre, d'autres éléments soumis au tribunal, dont une vidéo de Grabska entraînant son chien pendant une heure, ont renforcé les doutes sur la véracité de ses affirmations de blessures incapacitantes.
Malgré sa défaite judiciaire, Grabska a maintenu qu'elle cherchait simplement à mener une "vie normale", une déclaration qui, dans le contexte de cette affaire rocambolesque, n'a fait qu'ajouter de l'huile sur le feu.
Cependant, le tribunal a été confronté à une preuve accablante contre les affirmations de Grabska lorsqu'une photo d'elle, prise en janvier 2018, a été dévoilée.
Sur ce cliché, la prétendue victime apparait en train de lancer un sapin lors d'un concours de lancer d'arbre de Noël, affichant une agilité qui contredisait ses déclarations de douleurs constantes. Cette photo, publiée dans un journal national, a poussé le juge chargé de l'affaire à qualifier ses réclamations d'"entièrement exagérées".
Le tribunal a donc rejeté sa demande en soulignant l'incohérence entre les dires de Grabska et ses actions capturées en image. En outre, d'autres éléments soumis au tribunal, dont une vidéo de Grabska entraînant son chien pendant une heure, ont renforcé les doutes sur la véracité de ses affirmations de blessures incapacitantes.
Malgré sa défaite judiciaire, Grabska a maintenu qu'elle cherchait simplement à mener une "vie normale", une déclaration qui, dans le contexte de cette affaire rocambolesque, n'a fait qu'ajouter de l'huile sur le feu.