Le ministre de 62 ans pris au piège a tenté de se défendre en affirmant avoir personnellement financé les déplacements de Maria Rosaria Boccia, mais les preuves publiées par l'influenceuse ont rapidement érodé sa crédibilité. L'influenceuse n'était donc apparement pas conseillère du ministre mais bien plus d'autant plus qu'elle a pu filmer avec des lunettes connectées des relations très intimes sur leur lieu de "travail".
L'affaire a pris une ampleur telle que le ministre, confronté à une pression intense, a finalement renoncé à son poste. Dans une lettre adressée à la Première ministre Giorgia Meloni, il a exprimé son regret et son souhait de défendre son honneur devant la justice. Meloni, tout en saluant son travail, a accepté sa démission. L'influenceuse, quant à elle, a nié toute intention de nuire, affirmant simplement avoir dit la vérité.
L'affaire a pris une ampleur telle que le ministre, confronté à une pression intense, a finalement renoncé à son poste. Dans une lettre adressée à la Première ministre Giorgia Meloni, il a exprimé son regret et son souhait de défendre son honneur devant la justice. Meloni, tout en saluant son travail, a accepté sa démission. L'influenceuse, quant à elle, a nié toute intention de nuire, affirmant simplement avoir dit la vérité.