La science s’est penchée sur cette impression largement partagée. Des chercheurs suisses ont observé que le sommeil profond diminue sensiblement lors des pleines lunes et que l’endormissement prend plus de temps. L’intensité lumineuse, plus forte qu’à d’autres moments du cycle, semble jouer un rôle en freinant la production de mélatonine, l’hormone qui régule nos cycles veille-sommeil. Ce phénomène, bien que discret, suffit parfois à dérégler une nuit entière.
Chacun réagit différemment à cette influence. Certains affirment ne rien ressentir, d’autres racontent des rêves plus vifs, une sensibilité accrue ou une énergie inhabituelle. Il est difficile de savoir si ces effets relèvent du corps, de l’esprit ou d’une part de croyance. Mais qu’elle trouble réellement nos nuits ou qu’elle alimente simplement notre imaginaire, la pleine lune reste un rendez-vous singulier, capable de rappeler que nous demeurons liés aux rythmes de la nature.
Chacun réagit différemment à cette influence. Certains affirment ne rien ressentir, d’autres racontent des rêves plus vifs, une sensibilité accrue ou une énergie inhabituelle. Il est difficile de savoir si ces effets relèvent du corps, de l’esprit ou d’une part de croyance. Mais qu’elle trouble réellement nos nuits ou qu’elle alimente simplement notre imaginaire, la pleine lune reste un rendez-vous singulier, capable de rappeler que nous demeurons liés aux rythmes de la nature.








