Capture Instagram Miss France
Dans un message relayé sur Instagram, Frédéric Gilbert, président de la société Miss France, affirme ne pas pouvoir juger de la véracité des récits rapportés. Il rappelle que la période évoquée dans le livre, de 1990 à 2002, précède l’arrivée d’Endemol puis de Banijay à la direction du concours.
Cependant, il souligne que « toute forme de violence sexuelle, d’abus ou de harcèlement est inacceptable et condamnable », et assure son soutien aux victimes si ces témoignages venaient à être confirmés.
À l’origine, Hubert Guérin, dernier collaborateur de Geneviève de Fontenay, souhaitait retracer l’histoire du concours. Mais au fil des entretiens, il dit avoir découvert un tout autre visage de l’institution.
Selon ses sources, certaines anciennes Miss auraient sombré dans la dépression ou l’isolement après leur élection, d’autres auraient subi des agressions. Le journaliste décrit une véritable « machine à broyer » qui laisserait les jeunes femmes sans protection à la fin de leur règne.
Parmi les témoignages anonymes, l’une évoque un viol durant son année de couronnement, une autre raconte avoir été violentée dans sa chambre après une soirée officielle. Le livre rapporte aussi des attouchements imposés ou des fellations forcées.
D’après Hubert Guérin, la plupart des victimes n’ont jamais parlé publiquement de peur de perdre leur titre, de ternir l’image de leur région ou de ne pas être crues. Il dénonce une « omerta » installée autour du concours, précisant que ni Geneviève de Fontenay ni Sylvie Tellier n’auraient eu connaissance de ces faits.
L’auteur explique avoir tenté d’obtenir des réponses de l’actuelle organisation Miss France, sans succès. Il affirme même avoir reçu des menaces de poursuites judiciaires.
Cependant, il souligne que « toute forme de violence sexuelle, d’abus ou de harcèlement est inacceptable et condamnable », et assure son soutien aux victimes si ces témoignages venaient à être confirmés.
À l’origine, Hubert Guérin, dernier collaborateur de Geneviève de Fontenay, souhaitait retracer l’histoire du concours. Mais au fil des entretiens, il dit avoir découvert un tout autre visage de l’institution.
Selon ses sources, certaines anciennes Miss auraient sombré dans la dépression ou l’isolement après leur élection, d’autres auraient subi des agressions. Le journaliste décrit une véritable « machine à broyer » qui laisserait les jeunes femmes sans protection à la fin de leur règne.
Parmi les témoignages anonymes, l’une évoque un viol durant son année de couronnement, une autre raconte avoir été violentée dans sa chambre après une soirée officielle. Le livre rapporte aussi des attouchements imposés ou des fellations forcées.
D’après Hubert Guérin, la plupart des victimes n’ont jamais parlé publiquement de peur de perdre leur titre, de ternir l’image de leur région ou de ne pas être crues. Il dénonce une « omerta » installée autour du concours, précisant que ni Geneviève de Fontenay ni Sylvie Tellier n’auraient eu connaissance de ces faits.
L’auteur explique avoir tenté d’obtenir des réponses de l’actuelle organisation Miss France, sans succès. Il affirme même avoir reçu des menaces de poursuites judiciaires.







