Rien ne va plus dans le monde docile et poli des Miss. Le voyage préparatoire de Miss France 2026, organisé cette année en Martinique, n’a pas été de tout repos pour les 30 candidates. Entre entraînements intensifs, test de culture générale et séances de catwalk, le programme s’est révélé aussi exigeant que scruté. Et en coulisses, la discipline a visiblement laissé à désirer ( lire notre article).
Selon Le Parisien, plusieurs Miss se seraient montrées “désinvoltes”, obligeant Frédéric Gilbert, directeur du concours, à serrer la vis dès le quatrième jour. “J’ai mis un tour de vis… Il a fallu remettre un cadre”, a-t-il indiqué, rappelant l’importance des règles internes : pas de gobelets abandonnés, aucun retard toléré et, surtout, téléphone strictement interdit pendant les activités ou dans l’espace HMC (Habillage, Maquillage, Coiffure).
Ce samedi 15 novembre, le blogueur Aqababe a mis un nom sur la candidate concernée par l’un des avertissements : Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti, dont le charisme et la prestance font d’elle l’une des favorites du public.
D’après ses informations, la jeune femme aurait été surprise à plusieurs reprises en train d’utiliser son téléphone, malgré l’interdiction formelle en coulisses. Une source sur place évoque des rappels collectifs, avant qu’une situation ne dégénère : Hinaupoko aurait décroché un appel jugé “non urgent” en pleine préparation, irritant fortement l’équipe. La production l’aurait alors prise à part pour une remontrance personnelle, afin de remettre les pendules à l’heure.
Face à une ambiance qualifiée de “désinvolte”, une réunion de crise aurait ensuite été organisée pour rappeler les bases du savoir-vivre aux 30 Miss : politesse, respect des équipes et discipline stricte.
Un rappel important, alors que la route vers la couronne se joue autant sur scène que dans les coulisses.
Pour Hinaupoko Devèze, l’enjeu est de taille : très suivie, déjà remarquée pour son professionnalisme et son potentiel, la candidate tahitienne devra désormais éviter tout faux pas pour conforter son statut de favorite. Entre paillettes, pressions et petits dérapages, l’aventure Miss France 2026 montre une fois de plus que tout peut basculer très vite.
Selon Le Parisien, plusieurs Miss se seraient montrées “désinvoltes”, obligeant Frédéric Gilbert, directeur du concours, à serrer la vis dès le quatrième jour. “J’ai mis un tour de vis… Il a fallu remettre un cadre”, a-t-il indiqué, rappelant l’importance des règles internes : pas de gobelets abandonnés, aucun retard toléré et, surtout, téléphone strictement interdit pendant les activités ou dans l’espace HMC (Habillage, Maquillage, Coiffure).
Ce samedi 15 novembre, le blogueur Aqababe a mis un nom sur la candidate concernée par l’un des avertissements : Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti, dont le charisme et la prestance font d’elle l’une des favorites du public.
D’après ses informations, la jeune femme aurait été surprise à plusieurs reprises en train d’utiliser son téléphone, malgré l’interdiction formelle en coulisses. Une source sur place évoque des rappels collectifs, avant qu’une situation ne dégénère : Hinaupoko aurait décroché un appel jugé “non urgent” en pleine préparation, irritant fortement l’équipe. La production l’aurait alors prise à part pour une remontrance personnelle, afin de remettre les pendules à l’heure.
Face à une ambiance qualifiée de “désinvolte”, une réunion de crise aurait ensuite été organisée pour rappeler les bases du savoir-vivre aux 30 Miss : politesse, respect des équipes et discipline stricte.
Un rappel important, alors que la route vers la couronne se joue autant sur scène que dans les coulisses.
Pour Hinaupoko Devèze, l’enjeu est de taille : très suivie, déjà remarquée pour son professionnalisme et son potentiel, la candidate tahitienne devra désormais éviter tout faux pas pour conforter son statut de favorite. Entre paillettes, pressions et petits dérapages, l’aventure Miss France 2026 montre une fois de plus que tout peut basculer très vite.








