Ce samedi 6 décembre, 30 jeunes femmes seront officiellement en lice pour succéder à Angélique Angarni-Filopon, Miss France 2025. Mais en coulisses, la réalité est tout autre : le processus de sélection a débuté bien plus tôt, notamment lors du voyage de préparation en Martinique, où les prétendantes ont enchaîné défilés, séances photo, ateliers de prise de parole et tests de culture générale. Cette semaine intense constitue traditionnellement la première évaluation grandeur nature, destinée à mesurer non seulement l’aisance et la prestance de chacune, mais aussi leur capacité à évoluer en groupe.
Comme le prévoit le règlement, un jury de présélection a ensuite tranché dans la plus grande discrétion. Réuni mercredi, trois jours avant la cérémonie, ce comité présidé par le directeur du concours, Frédéric Gilbert, a retenu seulement douze candidates pour la demi-finale. Parmi les personnalités présentes figuraient d’anciennes Miss France, le directeur artistique de l’émission et des représentants de partenaires historiques de l’organisation.
Le processus est méthodique : chaque participante présente une courte vidéo, défile brièvement devant les jurés puis répond à un entretien d’environ cinq minutes. Une séquence brève mais déterminante, pensée pour révéler la personnalité, les motivations et la spontanéité de chacune. Engagements, aisance verbale, réactivité, vision du rôle… tout est observé. Ce rendez-vous, souvent qualifié de "grand oral", peut d’ailleurs provoquer des remises en question : certaines candidates choisissent d’abandonner, d’autres y trouvent l’occasion de compenser une prestation moins solide lors des épreuves précédentes.
Au terme de cette sélection implacable, 18 jeunes femmes ont donc quitté l’aventure Miss France 2026 avant l’épreuve finale. Les douze restantes s’apprêtent désormais à monter sur scène avec l’espoir d’accéder au titre le plus convoité de l’année.
Comme le prévoit le règlement, un jury de présélection a ensuite tranché dans la plus grande discrétion. Réuni mercredi, trois jours avant la cérémonie, ce comité présidé par le directeur du concours, Frédéric Gilbert, a retenu seulement douze candidates pour la demi-finale. Parmi les personnalités présentes figuraient d’anciennes Miss France, le directeur artistique de l’émission et des représentants de partenaires historiques de l’organisation.
Le processus est méthodique : chaque participante présente une courte vidéo, défile brièvement devant les jurés puis répond à un entretien d’environ cinq minutes. Une séquence brève mais déterminante, pensée pour révéler la personnalité, les motivations et la spontanéité de chacune. Engagements, aisance verbale, réactivité, vision du rôle… tout est observé. Ce rendez-vous, souvent qualifié de "grand oral", peut d’ailleurs provoquer des remises en question : certaines candidates choisissent d’abandonner, d’autres y trouvent l’occasion de compenser une prestation moins solide lors des épreuves précédentes.
Au terme de cette sélection implacable, 18 jeunes femmes ont donc quitté l’aventure Miss France 2026 avant l’épreuve finale. Les douze restantes s’apprêtent désormais à monter sur scène avec l’espoir d’accéder au titre le plus convoité de l’année.








