Pour manifester leur mécontentement, les sages-femmes, s’étaient réunies sur le parvis de la Préfecture.
Elles étaient nombreuses à avoir répondu présentes à l’appel à la grève des sages-femmes libérales, par l’Organisation Nationale des Syndicats de Sages-femmes. Les revendications étaient majoritairement basées sur la non reconnaissance de leur fonction: «Nos compétences ne cessent d’évoluer, cependant, nous ne sommes pas reconnues à notre juste valeur», explique l’ONSS. Les sages-femmes souhaitent que des postes supplémentaires soient créés dans les établissements de santé, mais aussi des aides, pour le développement de formations professionnelles continues au niveau local.