Chaque seconde qui passe ne revient jamais. On le sait, mais on l’oublie. On reporte les projets, on diffère les appels, on pense qu’il y aura toujours « plus tard ». Mais parfois, plus tard n’existe pas.
Apprendre à ralentir, c’est reprendre le contrôle. C’est savourer un café chaud au lieu de le boire machinalement. C’est regarder un coucher de soleil sans sortir son téléphone. C’est rire avec un ami sans se soucier de l’heure.
Le temps ne se stocke pas, ne s’achète pas, ne se revend pas. Il s’offre, il se vit, il s’apprivoise. Alors, avant de courir encore, posons-nous une question simple : comment puis-je honorer l’instant présent, là, maintenant ?
Claire, 42 ans témoigne : « Pendant longtemps, je vivais en accéléré. Entre le travail, les enfants, les factures et les courses, je ne voyais pas mes journées passer. Tout était programmé, chronométré. Mais un jour, un proche est parti brutalement, sans prévenir. J’ai alors compris que je remettais trop de choses à demain.
Depuis, j’essaie de ralentir. Chaque matin, je prends dix minutes pour boire mon café en silence, sans téléphone. Le soir, je vais marcher au coucher du soleil, juste pour regarder le ciel changer de couleurs. Ces instants simples me donnent une paix que je ne trouvais pas avant.
On croit souvent que profiter du temps, c’est faire de grandes choses : voyager, réussir, accumuler. Mais en réalité, ce sont les petits moments qui comptent le plus. Aujourd’hui, je ne cherche plus à remplir ma vie, je cherche à la savourer. »
Apprendre à ralentir, c’est reprendre le contrôle. C’est savourer un café chaud au lieu de le boire machinalement. C’est regarder un coucher de soleil sans sortir son téléphone. C’est rire avec un ami sans se soucier de l’heure.
Le temps ne se stocke pas, ne s’achète pas, ne se revend pas. Il s’offre, il se vit, il s’apprivoise. Alors, avant de courir encore, posons-nous une question simple : comment puis-je honorer l’instant présent, là, maintenant ?
Claire, 42 ans témoigne : « Pendant longtemps, je vivais en accéléré. Entre le travail, les enfants, les factures et les courses, je ne voyais pas mes journées passer. Tout était programmé, chronométré. Mais un jour, un proche est parti brutalement, sans prévenir. J’ai alors compris que je remettais trop de choses à demain.
Depuis, j’essaie de ralentir. Chaque matin, je prends dix minutes pour boire mon café en silence, sans téléphone. Le soir, je vais marcher au coucher du soleil, juste pour regarder le ciel changer de couleurs. Ces instants simples me donnent une paix que je ne trouvais pas avant.
On croit souvent que profiter du temps, c’est faire de grandes choses : voyager, réussir, accumuler. Mais en réalité, ce sont les petits moments qui comptent le plus. Aujourd’hui, je ne cherche plus à remplir ma vie, je cherche à la savourer. »








