Capture Instagram Jarry
Mediapart affirme avoir recueilli les témoignages d’une quinzaine de personnes, toutes employées ou présentes sur le plateau, qui décrivent une ambiance tendue et des comportements déplacés de la part de l’humoriste.
Un technicien rapporte notamment un épisode au cours duquel Jarry aurait surnommé un jeune acteur noir “Kirikou”, provoquant un malaise général : « Il y a eu un grand silence sur le plateau, personne n’a rien dit », confie-t-il à Mediapart.
L’humoriste aurait également multiplié les remarques sur les cheveux crépus de cet acteur et ajouté, sur un ton jugé moqueur : « Il faut vite tourner, sinon on ne te verra plus. »
Plusieurs témoignages évoquent un comportement tactile envers les jeunes comédiens. Un membre de l’équipe décrit un Jarry « très tactile » qui « touche les abdos ou les épaules pour voir s’ils sont musclés ». Une technicienne ajoute que « tout tourne autour du cul » avec lui : « Il fait des vannes tendancieuses en permanence, et ça finit par être dégradant, voire humiliant. »
Selon la même source, l’humoriste aurait plaisanté à plusieurs reprises sur son sexe, qu’il aurait surnommé “le monstre”. Toujours selon Mediapart, plusieurs témoins dénoncent également des accès de colère et des gestes violents. Un technicien affirme que « le premier jour, il a limite frappé une des costumières », en précisant l’avoir vu taper sur sa main. Un autre collaborateur décrit un comportement « exécrable » envers certaines techniciennes, évoquant des « scandales pour des histoires futiles, comme des gâteaux sans gluten ».
Contacté par Mediapart, Jarry n’a pas souhaité répondre directement aux accusations. Dans un message transmis au média, il a simplement écrit : « J’espère vous avoir un jour dans ma salle pour comprendre ma quête de rassembler les gens, quels que soient leur sexe, religion ou couleur de peau ! Le vivre-ensemble donne un sens à la vie. Prenez sincèrement soin de vous. » Mediapart précise qu’aucune plainte n’a, pour l’instant, été déposée contre l’humoriste.
Un technicien rapporte notamment un épisode au cours duquel Jarry aurait surnommé un jeune acteur noir “Kirikou”, provoquant un malaise général : « Il y a eu un grand silence sur le plateau, personne n’a rien dit », confie-t-il à Mediapart.
L’humoriste aurait également multiplié les remarques sur les cheveux crépus de cet acteur et ajouté, sur un ton jugé moqueur : « Il faut vite tourner, sinon on ne te verra plus. »
Plusieurs témoignages évoquent un comportement tactile envers les jeunes comédiens. Un membre de l’équipe décrit un Jarry « très tactile » qui « touche les abdos ou les épaules pour voir s’ils sont musclés ». Une technicienne ajoute que « tout tourne autour du cul » avec lui : « Il fait des vannes tendancieuses en permanence, et ça finit par être dégradant, voire humiliant. »
Selon la même source, l’humoriste aurait plaisanté à plusieurs reprises sur son sexe, qu’il aurait surnommé “le monstre”. Toujours selon Mediapart, plusieurs témoins dénoncent également des accès de colère et des gestes violents. Un technicien affirme que « le premier jour, il a limite frappé une des costumières », en précisant l’avoir vu taper sur sa main. Un autre collaborateur décrit un comportement « exécrable » envers certaines techniciennes, évoquant des « scandales pour des histoires futiles, comme des gâteaux sans gluten ».
Contacté par Mediapart, Jarry n’a pas souhaité répondre directement aux accusations. Dans un message transmis au média, il a simplement écrit : « J’espère vous avoir un jour dans ma salle pour comprendre ma quête de rassembler les gens, quels que soient leur sexe, religion ou couleur de peau ! Le vivre-ensemble donne un sens à la vie. Prenez sincèrement soin de vous. » Mediapart précise qu’aucune plainte n’a, pour l’instant, été déposée contre l’humoriste.







