Photo: Instagram Guillaume Ethève
Guillaume, vous êtes attendu ce samedi sur la scène de Flore et Halle. Impatient de vous produire devant vos fans réunionnais ?!
Oh que oui ! Je suis impatient de me produire à Flore et Halle. Cela faisait un an que je n’étais pas revenu dans l’île et mon dernier concert était lors du Kaloo Bang. C’est un plaisir de retrouver mon île, ma famille et les gens qui vont m’ont soutenu depuis The Voice. Je tiens d’ailleurs à les remercier pour leurs messages de soutien.
Quel a été votre parcours à la suite de The Voice ? On vous a notamment aperçu au sein du groupe 100 Voice of Gospel, qui a atteint la finale de Britain’s got talent (la version britannique de La France a un incroyable talent).
Depuis la fin de The Voice, je prépare mon premier album avec Sony UK et le label Epic, avec une équipe de 15 personnes autour de moi. Certaines d’entre elles ont notamment travaillé avec Daft Punk, The Avener ou encore Adele. Mais c’est vrai que tout s’est accéléré après mon passage dans la version britannique La France a un incroyable talent. Cela m’a permis de voyager à travers le monde, en donnant des concerts en Malaisie, en Espagne, aux États-Unis, à Dubaï ou encore au Koweït.
Pourquoi avoir fait le choix du gospel ?
J’ai toujours été dans le gospel. J’ai d’ailleurs commencé avec le groupe Ananias à l’âge de 10-12 ans. En arrivant en métropole, mon but était d’intégrer le plus grand groupe du monde de gospel, à savoir 100 Voice of Gospel. Chose faite en 2015, où j’ai d’abord été engagé en 2015 comme choriste puis comme lead singer. Cela m’a permis de recentrer sur ma musique et de savoir où je veux aller.
Quels sont vos projets futurs ?
Continuer à voyager dans le monde avec l’orchestre des Cigales et continuer à découvrir et cultiver la musique de mon album avec plusieurs sonorités. Je me concentre beaucoup sur la sortie de mon album : j’ai envie d’avoir quelque chose qui sonne avec les tendances actuelles. Je prends le temps de faire un album qui me ressemble, qui allie sonorités gospel avec des instruments locaux comme un roulèr ou un kayanmb.
Oh que oui ! Je suis impatient de me produire à Flore et Halle. Cela faisait un an que je n’étais pas revenu dans l’île et mon dernier concert était lors du Kaloo Bang. C’est un plaisir de retrouver mon île, ma famille et les gens qui vont m’ont soutenu depuis The Voice. Je tiens d’ailleurs à les remercier pour leurs messages de soutien.
Quel a été votre parcours à la suite de The Voice ? On vous a notamment aperçu au sein du groupe 100 Voice of Gospel, qui a atteint la finale de Britain’s got talent (la version britannique de La France a un incroyable talent).
Depuis la fin de The Voice, je prépare mon premier album avec Sony UK et le label Epic, avec une équipe de 15 personnes autour de moi. Certaines d’entre elles ont notamment travaillé avec Daft Punk, The Avener ou encore Adele. Mais c’est vrai que tout s’est accéléré après mon passage dans la version britannique La France a un incroyable talent. Cela m’a permis de voyager à travers le monde, en donnant des concerts en Malaisie, en Espagne, aux États-Unis, à Dubaï ou encore au Koweït.
Pourquoi avoir fait le choix du gospel ?
J’ai toujours été dans le gospel. J’ai d’ailleurs commencé avec le groupe Ananias à l’âge de 10-12 ans. En arrivant en métropole, mon but était d’intégrer le plus grand groupe du monde de gospel, à savoir 100 Voice of Gospel. Chose faite en 2015, où j’ai d’abord été engagé en 2015 comme choriste puis comme lead singer. Cela m’a permis de recentrer sur ma musique et de savoir où je veux aller.
Quels sont vos projets futurs ?
Continuer à voyager dans le monde avec l’orchestre des Cigales et continuer à découvrir et cultiver la musique de mon album avec plusieurs sonorités. Je me concentre beaucoup sur la sortie de mon album : j’ai envie d’avoir quelque chose qui sonne avec les tendances actuelles. Je prends le temps de faire un album qui me ressemble, qui allie sonorités gospel avec des instruments locaux comme un roulèr ou un kayanmb.