Capture Instagram Vaimalama Chaves
Extrêmement émue et en larmes Vaimalama Chavez, Miss France 2019 dénonce l'insécurité subie les femmes après avoir elle même été prise à partie. Une bande de jeunes lui a jeté des pierres et a tenté de lui voler son téléphone. Sur Instagram, elle témoigne dans une story Instagram, qu'elle interrompt trop émue pour poursuivre par écrit.
La sublime brune aux yeux lagon raconte : " Chères femmes, aujourd’hui je suis en colère parce que je me suis fait agresser… " Elle écrit ensuite : " Je suis en colère. Je me sens si faible et démunie ! Je vous avoue que les mots me manquent et je suis déçue de n’avoir pas eu le pouvoir de faire ce qu’il fallait. ". La bande qui l'a agressée, des mineures ne peuvent être condamnés.
Elle publie dans sa story également une vidéo qu'elle a du prendre juste après l'agression, où l'on voit les jeunes fuir : " Je ne veux pas que quelqu’un d’autre ait à vivre ça. L’insécurité, la colère, la perte de moyens ".
Elle détaille, affirmant que la bande a commencé à lui jeter des cailloux "pour rigoler ". Vaimalama Chavez poursuit: " Quand j’ai confronté celui que j’ai vu qui l’a fait, ils se sont regroupés autour de moi. Une quinzaine de jeunes gars qui n’ont aucunes valeurs, dont les parents sont dépassés ».
Dans un nouveau post pour finir, la Miss confirme avoir porté plainte : " Les choses n’en resteront pas là. Si moi j’ai vécu ça et que j’ai pu vous le montrer, des milliers d’autres subissent pareil et pire, et ne disent rien. A tout le monde, faites savoir ce qui se passe parce que ce n’est pas votre faute. Que vous portiez une jupe, que vous soyez maquillés, que vous existiez en tant que vous ! "
La sublime brune aux yeux lagon raconte : " Chères femmes, aujourd’hui je suis en colère parce que je me suis fait agresser… " Elle écrit ensuite : " Je suis en colère. Je me sens si faible et démunie ! Je vous avoue que les mots me manquent et je suis déçue de n’avoir pas eu le pouvoir de faire ce qu’il fallait. ". La bande qui l'a agressée, des mineures ne peuvent être condamnés.
Elle publie dans sa story également une vidéo qu'elle a du prendre juste après l'agression, où l'on voit les jeunes fuir : " Je ne veux pas que quelqu’un d’autre ait à vivre ça. L’insécurité, la colère, la perte de moyens ".
Elle détaille, affirmant que la bande a commencé à lui jeter des cailloux "pour rigoler ". Vaimalama Chavez poursuit: " Quand j’ai confronté celui que j’ai vu qui l’a fait, ils se sont regroupés autour de moi. Une quinzaine de jeunes gars qui n’ont aucunes valeurs, dont les parents sont dépassés ».
" Ici, tous mes acquis n’ont pas leur place, à Paris. Le respect n’existe pas. La tolérance non plus "La Tahitienne poursuit : " La Polynésie m’a appris la douceur et la gentillesse, mais ici, tous mes acquis n’ont pas leur place, à Paris. Le respect n’existe pas. La tolérance non plus. Ce n’est pas normal de juste faire comme si de rien n’était. D’avancer sans sourciller. Nous existons. Notre sensibilité aussi. »
Dans un nouveau post pour finir, la Miss confirme avoir porté plainte : " Les choses n’en resteront pas là. Si moi j’ai vécu ça et que j’ai pu vous le montrer, des milliers d’autres subissent pareil et pire, et ne disent rien. A tout le monde, faites savoir ce qui se passe parce que ce n’est pas votre faute. Que vous portiez une jupe, que vous soyez maquillés, que vous existiez en tant que vous ! "