Le cerveau, chef d’orchestre de notre comportement alimentaire
Manger n’est pas qu’un acte de survie : c’est aussi un acte émotionnel, social, parfois réconfortant. Le cerveau, via l’hypothalamus, gère l’équilibre entre la faim, la satiété, les envies et les pulsions. Un stress chronique, une anxiété latente ou un choc émotionnel peuvent perturber ces signaux et pousser à manger plus… ou à manger autrement.
« J’ai commencé à grignoter après la naissance de ma fille. Ce n’était pas de la faim, c’était de l’angoisse et de la fatigue », confie Léa, 38 ans.
Hormones et métabolisme : les grandes oubliées du débat
Certaines hormones comme la leptine (satiété), la ghréline (faim) ou le cortisol (stress) jouent un rôle clé dans la régulation du poids. Or, chez certaines personnes en surpoids, ces hormones ne fonctionnent pas comme prévu. Résultat ? Elles peuvent ressentir la faim plus intensément ou être moins sensibles aux signaux de satiété. Dire « mange moins » à une personne dans cette situation revient à demander à quelqu’un en manque d’oxygène de « moins respirer ».
Le stress chronique active le cortisol, qui stimule l’appétit et favorise le stockage des graisses, en particulier au niveau abdominal. C’est une réponse ancestrale du corps, censée nous protéger… mais inadaptée à notre époque. En outre, beaucoup de personnes mangent pour calmer une émotion, et non par faim réelle. Ce qu’on appelle la « faim émotionnelle ».
Pourquoi les régimes restrictifs échouent-ils, presque toujours ?
La majorité des régimes restrictifs échouent à long terme. Pourquoi ? Parce qu’ils ne tiennent pas compte de la complexité de notre rapport à l’alimentation. Ils créent de la frustration, du contrôle, et parfois une obsession alimentaire. Et lorsqu’on “craque”, on culpabilise… et on recommence. Le fameux effet yoyo.
La vraie solution ne résiderait donc pas pas dans « manger moins », mais dans mieux comprendre ce qui se joue en nous, à tous les niveaux.
Manger n’est pas qu’un acte de survie : c’est aussi un acte émotionnel, social, parfois réconfortant. Le cerveau, via l’hypothalamus, gère l’équilibre entre la faim, la satiété, les envies et les pulsions. Un stress chronique, une anxiété latente ou un choc émotionnel peuvent perturber ces signaux et pousser à manger plus… ou à manger autrement.
« J’ai commencé à grignoter après la naissance de ma fille. Ce n’était pas de la faim, c’était de l’angoisse et de la fatigue », confie Léa, 38 ans.
Hormones et métabolisme : les grandes oubliées du débat
Certaines hormones comme la leptine (satiété), la ghréline (faim) ou le cortisol (stress) jouent un rôle clé dans la régulation du poids. Or, chez certaines personnes en surpoids, ces hormones ne fonctionnent pas comme prévu. Résultat ? Elles peuvent ressentir la faim plus intensément ou être moins sensibles aux signaux de satiété. Dire « mange moins » à une personne dans cette situation revient à demander à quelqu’un en manque d’oxygène de « moins respirer ».
Le stress chronique active le cortisol, qui stimule l’appétit et favorise le stockage des graisses, en particulier au niveau abdominal. C’est une réponse ancestrale du corps, censée nous protéger… mais inadaptée à notre époque. En outre, beaucoup de personnes mangent pour calmer une émotion, et non par faim réelle. Ce qu’on appelle la « faim émotionnelle ».
Pourquoi les régimes restrictifs échouent-ils, presque toujours ?
La majorité des régimes restrictifs échouent à long terme. Pourquoi ? Parce qu’ils ne tiennent pas compte de la complexité de notre rapport à l’alimentation. Ils créent de la frustration, du contrôle, et parfois une obsession alimentaire. Et lorsqu’on “craque”, on culpabilise… et on recommence. Le fameux effet yoyo.
La vraie solution ne résiderait donc pas pas dans « manger moins », mais dans mieux comprendre ce qui se joue en nous, à tous les niveaux.