On ne parle que de ça depuis quelque temps et on en parlera encore plus cette semaine. Est-ce que ce sera le dernier salon où l’on cause ou véritablement une prise de conscience des problèmes structurels des régions ultramarines avec les solutions concrètes qui vont avec ?
Des débats, des forums, des séminaires, des assises, et j’en passe, on en a vu ces dernières années. Pour quel résultat? Des grèves et des manifestations aux Antilles et à La Réunion. On évoque un modèle de société à changer, c’est bien beau, mais que proposer à la place? Comment changer une société du jour au lendemain? Ce n’est certainement pas dans un contexte de crise mondiale aussi tendue que les départements d’outre-mer pourront trouver la solution miracle. Ce n’est pas du pessimisme, c’est la réalité du terrain.
Tous les jours, on entend que des entreprises ferment, que des emplois sont supprimés, que l’avenir s’annonce morose. D’où des comportements désespérés pour ceux qui, du jour au lendemain, perdent tout. Les réponses aujourd’hui ne sont même plus politiques, et que l’on soit de droite ou de gauche, on ne peut que constater les dégâts.
Des Etats Généraux, pourquoi pas? Mais surtout pour quels résultats? On souhaite bien du courage à celles et ceux qui vont plancher sur des propositions concrètes destinées à changer le monde… Heureusement qu’il nous reste le rêve…
A.P.
Des débats, des forums, des séminaires, des assises, et j’en passe, on en a vu ces dernières années. Pour quel résultat? Des grèves et des manifestations aux Antilles et à La Réunion. On évoque un modèle de société à changer, c’est bien beau, mais que proposer à la place? Comment changer une société du jour au lendemain? Ce n’est certainement pas dans un contexte de crise mondiale aussi tendue que les départements d’outre-mer pourront trouver la solution miracle. Ce n’est pas du pessimisme, c’est la réalité du terrain.
Tous les jours, on entend que des entreprises ferment, que des emplois sont supprimés, que l’avenir s’annonce morose. D’où des comportements désespérés pour ceux qui, du jour au lendemain, perdent tout. Les réponses aujourd’hui ne sont même plus politiques, et que l’on soit de droite ou de gauche, on ne peut que constater les dégâts.
Des Etats Généraux, pourquoi pas? Mais surtout pour quels résultats? On souhaite bien du courage à celles et ceux qui vont plancher sur des propositions concrètes destinées à changer le monde… Heureusement qu’il nous reste le rêve…
A.P.
