Il est vrai que, comme tout être vivant, les plantes respirent. Le jour, elles absorbent le dioxyde de carbone et rejettent de l’oxygène grâce à la photosynthèse. La nuit, en l’absence de lumière, ce mécanisme s’inverse : elles consomment un peu d’oxygène et rejettent du CO₂. Ce phénomène, bien réel, est cependant très modeste. Une plante d’intérieur n’a absolument pas la capacité de modifier significativement la composition de l’air dans une pièce, encore moins de nuire à notre respiration. À ce titre, avoir un animal qui dort dans la chambre est bien plus "impactant", sans que cela n’inquiète personne.
Mais au-delà de cette question d’oxygène, d’autres arguments jouent en faveur des plantes dans la chambre. D’abord, certaines variétés ont la capacité d’améliorer la qualité de l’air en filtrant certains polluants domestiques. Des recherches menées notamment par la NASA ont montré que certaines espèces pouvaient absorber des substances comme le formaldéhyde ou le benzène, couramment présents dans nos intérieurs. L’effet purificateur reste modeste à l’échelle d’une pièce, mais il est bien réel.
Les plantes ne se contentent pas de rendre l’air plus sain : elles influencent aussi notre bien-être psychologique. Leur simple présence a un effet apaisant. Le vert de leur feuillage, la douceur de leurs formes, le rythme calme de leur croissance... tout cela contribue à instaurer une ambiance propice au repos. Certaines dégagent même un parfum délicat et naturellement relaxant, comme la lavande ou le jasmin, connues pour favoriser l’endormissement.
Évidemment, tout n’est pas permis. Il vaut mieux éviter de transformer sa chambre en serre tropicale. L’accumulation d’humidité, les moisissures ou certains parfums trop entêtants peuvent déranger les plus sensibles. Il est aussi important de choisir des plantes adaptées à l’environnement de la chambre : lumière modérée, températures stables, peu d’arrosage. Et surtout, ne pas négliger l’aération quotidienne, indispensable qu’il y ait des plantes ou non.
Finalement, dormir avec des plantes dans sa chambre n’est pas seulement sans danger, c’est même une excellente idée à condition de faire preuve de bon sens. Elles ne vous voleront pas votre oxygène, mais pourraient bien vous offrir des nuits plus sereines.
Mais au-delà de cette question d’oxygène, d’autres arguments jouent en faveur des plantes dans la chambre. D’abord, certaines variétés ont la capacité d’améliorer la qualité de l’air en filtrant certains polluants domestiques. Des recherches menées notamment par la NASA ont montré que certaines espèces pouvaient absorber des substances comme le formaldéhyde ou le benzène, couramment présents dans nos intérieurs. L’effet purificateur reste modeste à l’échelle d’une pièce, mais il est bien réel.
Les plantes ne se contentent pas de rendre l’air plus sain : elles influencent aussi notre bien-être psychologique. Leur simple présence a un effet apaisant. Le vert de leur feuillage, la douceur de leurs formes, le rythme calme de leur croissance... tout cela contribue à instaurer une ambiance propice au repos. Certaines dégagent même un parfum délicat et naturellement relaxant, comme la lavande ou le jasmin, connues pour favoriser l’endormissement.
Évidemment, tout n’est pas permis. Il vaut mieux éviter de transformer sa chambre en serre tropicale. L’accumulation d’humidité, les moisissures ou certains parfums trop entêtants peuvent déranger les plus sensibles. Il est aussi important de choisir des plantes adaptées à l’environnement de la chambre : lumière modérée, températures stables, peu d’arrosage. Et surtout, ne pas négliger l’aération quotidienne, indispensable qu’il y ait des plantes ou non.
Finalement, dormir avec des plantes dans sa chambre n’est pas seulement sans danger, c’est même une excellente idée à condition de faire preuve de bon sens. Elles ne vous voleront pas votre oxygène, mais pourraient bien vous offrir des nuits plus sereines.
