À l'occasion de la sortie de son dernier album "Ma Lumière", le chanteur s'est envolé vers Melbourne ce mercredi. Il y retrouve samedi soir une communauté mauricienne fidèle, pour la troisième fois en quelques années. Le but est de présenter le nouvel album mais également de ressortir les classiques.
"Cet album est un peu hors série, explique l'artiste, pas dans la même lignée que les autres. La musique est plus introspective, avec une réelle remise en question". Son vécu lui aurait fait "comprendre certaines choses". Les anciens albums évoquaient plus les attentes de l'autre, que ce soit dans des relations amoureuses, familiales ou professionnelles, ajoute-t-il, celui-ci parle des "attentes de soi".
Une remise en question également du côté professionnel car Dominique Barret reconnaît l'évolution du monde musicale, notamment grâce (ou à cause) d'Internet et des réseaux sociaux. "Il va falloir que je m'adapte et que je m'éloigne du chemin traditionnel de l'album", avoue-t-il. Son dernier album donc? Peut-être bien, mais certainement pas ses dernières chansons.
S'éloigner du "chemin traditionnel de l'album"
Car il ne peut ignorer le succès qu'il a chez lui, évidemment, mais également à Maurice. En 2011, son concert dans l'île Soeur était plein à craquer, avec 2400 spectateurs. En 2013, ils ont réussi à en accepter 3000... Dominique Barret explique: "Étant jeune, je préférais la culture musicale anglo-saxone. Je me suis donc d'avantage reconnu là-bas. Cette fibre inexplicable a peut-être été ressentie par les Mauriciens. Aujourd'hui ça fait 30 ans que j'y joue".
Mais il ne faut surtout pas douter de sa fierté réunionnaise. "Peu d'artistes réunionnais sont vraiment connus là-bas, donc je suis fier d'aller jouer en tant que Réunionnais".
Un petit bout de chez nous qu'il exportera donc aussi en Australie samedi soir, avec des musiciens mauriciens et australiens. De quoi apporter une petite touche originale.
"Cet album est un peu hors série, explique l'artiste, pas dans la même lignée que les autres. La musique est plus introspective, avec une réelle remise en question". Son vécu lui aurait fait "comprendre certaines choses". Les anciens albums évoquaient plus les attentes de l'autre, que ce soit dans des relations amoureuses, familiales ou professionnelles, ajoute-t-il, celui-ci parle des "attentes de soi".
Une remise en question également du côté professionnel car Dominique Barret reconnaît l'évolution du monde musicale, notamment grâce (ou à cause) d'Internet et des réseaux sociaux. "Il va falloir que je m'adapte et que je m'éloigne du chemin traditionnel de l'album", avoue-t-il. Son dernier album donc? Peut-être bien, mais certainement pas ses dernières chansons.
S'éloigner du "chemin traditionnel de l'album"
Car il ne peut ignorer le succès qu'il a chez lui, évidemment, mais également à Maurice. En 2011, son concert dans l'île Soeur était plein à craquer, avec 2400 spectateurs. En 2013, ils ont réussi à en accepter 3000... Dominique Barret explique: "Étant jeune, je préférais la culture musicale anglo-saxone. Je me suis donc d'avantage reconnu là-bas. Cette fibre inexplicable a peut-être été ressentie par les Mauriciens. Aujourd'hui ça fait 30 ans que j'y joue".
Mais il ne faut surtout pas douter de sa fierté réunionnaise. "Peu d'artistes réunionnais sont vraiment connus là-bas, donc je suis fier d'aller jouer en tant que Réunionnais".
Un petit bout de chez nous qu'il exportera donc aussi en Australie samedi soir, avec des musiciens mauriciens et australiens. De quoi apporter une petite touche originale.