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L'incident a débuté mercredi dernier quand, malgré les avertissements répétés du guide concernant l'heure de retour, le groupe a sous-estimé le temps nécessaire pour regagner le port. Jill et Jay Campbell, un couple américain faisant partie des huit touristes, ont tenté d'alerter l'équipage de leur retard imminent. Néanmoins, lorsqu'ils sont finalement arrivés, le capitaine a pris la décision controversée de ne pas les autoriser à remonter à bord, laissant le navire de la Norwegian Cruise Line poursuivre sa route sans eux.
Contraints de poursuivre le navire à travers six pays africains, les voyageurs désespérés ont espéré le rattraper en Gambie, où le navire devait accoster le dimanche suivant. Cependant, une marée basse imprévue a empêché le navire d'accoster ce jour-là, forçant le groupe à se rediriger vers le Sénégal, prochaine escale prévue.
Le drame s'accentue lorsqu'on découvre que parmi ces huit passagers, plusieurs sont particulièrement vulnérables : des personnes âgées, un paraplégique et une femme enceinte. Depuis leur séparation d'avec le navire, ils n'ont pas accès à leurs médicaments, toujours à bord. L'un d'eux, souffrant de problèmes cardiaques, se trouve dans une situation particulièrement précaire.
À cela s'ajoute des difficultés financières, car plusieurs d'entre eux ne possèdent pas de carte de crédit valide en Afrique. Les Campbell ont alors pris en charge les frais considérables d'hébergement et de nécessités vitales, s'élevant à des milliers de dollars.
Face à cette situation délicate, la Norwegian Cruise Line, contactée par CNN, n'a pas souhaité répondre aux demandes d'entrevue.
Contraints de poursuivre le navire à travers six pays africains, les voyageurs désespérés ont espéré le rattraper en Gambie, où le navire devait accoster le dimanche suivant. Cependant, une marée basse imprévue a empêché le navire d'accoster ce jour-là, forçant le groupe à se rediriger vers le Sénégal, prochaine escale prévue.
Le drame s'accentue lorsqu'on découvre que parmi ces huit passagers, plusieurs sont particulièrement vulnérables : des personnes âgées, un paraplégique et une femme enceinte. Depuis leur séparation d'avec le navire, ils n'ont pas accès à leurs médicaments, toujours à bord. L'un d'eux, souffrant de problèmes cardiaques, se trouve dans une situation particulièrement précaire.
À cela s'ajoute des difficultés financières, car plusieurs d'entre eux ne possèdent pas de carte de crédit valide en Afrique. Les Campbell ont alors pris en charge les frais considérables d'hébergement et de nécessités vitales, s'élevant à des milliers de dollars.
Face à cette situation délicate, la Norwegian Cruise Line, contactée par CNN, n'a pas souhaité répondre aux demandes d'entrevue.
