À l'approche des Jeux Olympiques de Paris 2024, la qualité de l'eau de la Seine suscite des préoccupations majeures. Malgré le "Plan qualité de l'eau et baignade", lancé avec un investissement de près d'un milliard et demi d'euros, la teinte marron du fleuve et les récentes inondations soulèvent des interrogations quant à la capacité des athlètes à concourir dans de bonnes conditions.
Les réactions ne se sont pas fait attendre sur les réseaux sociaux, où les internautes expriment leur dégoût et leur scepticisme face à la situation actuelle du fleuve. Toutefois, Julia Moutiez, chercheuse au CNRS, rappelle que la couleur de l'eau et sa qualité sont deux aspects distincts, et que la mesure des bactéries fécales est l'indicateur le plus fiable.
Malgré ces assurances, la championne olympique de natation en eau libre, Ana Marcela Cunha, exprime ses inquiétudes et réclame un plan B pour garantir la sécurité sanitaire des athlètes. La qualité de l'eau de la Seine, qui doit accueillir les épreuves de triathlon et de nage en eau libre, reste un sujet brûlant à quelques mois seulement de l'ouverture des Jeux.
Les réactions ne se sont pas fait attendre sur les réseaux sociaux, où les internautes expriment leur dégoût et leur scepticisme face à la situation actuelle du fleuve. Toutefois, Julia Moutiez, chercheuse au CNRS, rappelle que la couleur de l'eau et sa qualité sont deux aspects distincts, et que la mesure des bactéries fécales est l'indicateur le plus fiable.
Malgré ces assurances, la championne olympique de natation en eau libre, Ana Marcela Cunha, exprime ses inquiétudes et réclame un plan B pour garantir la sécurité sanitaire des athlètes. La qualité de l'eau de la Seine, qui doit accueillir les épreuves de triathlon et de nage en eau libre, reste un sujet brûlant à quelques mois seulement de l'ouverture des Jeux.