Dans l’histoire de l’Education Nationale à La Réunion, on n’avait jamais vu ça: une rentrée dans le primaire différée pour cause d’insuffisance de contrats aidés. 22 communes sur 24 qui étaient sur la même longueur d’ondes sur un sujet qui touche forcément toute la société réunionnaise, c’est évidemment la preuve d’un malaise inquiétant. Il faudra bien trouver une solution pérenne si on veut éviter une crise plus grave.
Et puisqu’on parle crise, le cri d’alarme des chambres consulaires et du collectif “Sauvons les entreprises” est significatif du climat économique ambiant. Les petites et moyennes entreprises de l’île sont au bord de l’asphyxie, elles ne parviennent plus à faire face aux charges et encore moins à embaucher, c’est une réalité qu’on ne peut pas nier et qui mérite un traitement de choc si on veut éviter une explosion sociale.
Tout le monde est fatigué d’entendre parler de problèmes, de crise, de choses négatives, on veut bien parler d’autre chose, mais il suffit de regarder ce qui se passe au quotidien pour constater que la situation générale est mauvaise. Et il n’y a pas que La Réunion (en métropole, c’est la même problématique) qui est concernée, d’où le pessimisme qui persiste…
Le gouvernement socialiste fera-t-il mieux que la droite? Evidemment, au bout de 100 jours de pouvoir, il est difficile d’analyser et de comparer, mais ce qui est certain, c’est que la rigueur est bien à l’ordre du jour. La France est dépendante du reste de l’Europe et du monde en général. Le crise perdure, elle n’est pas prête d’être enrayée, il ne faut donc pas s’attendre à des mois meilleurs. Bien courageux celles et ceux qui veulent aujourd’hui entreprendre! Il faudra, à l’évidence, trouver un autre modèle de développement économique, mais lequel?...
Heureusement, il y a aussi de bonnes nouvelles qui arrivent. Par exemple, ces deux jeunes saint-Paulois qui font cette semaine un voyage exceptionnel grâce à l’implication de l’Association 1000 Sourires (voir page 20). Les larmes aux yeux de la petite Cynthia lors de la conférence de presse prouvent qu’il ne faut pas désepérer. Tout peut arriver, et quand un rêve inaccessible devient réalité, on se dit que le monde est parfois bien fait.
Et pour faire oublier les soucis du quotidien, il y a eu les émotions des Jeux Olympiques, ou encore la magie du Cirque Raluy (notre Une de cette semaine). Et on espère d’autres perspectives joyeuses pour les mois à venir…
Et puisqu’on parle crise, le cri d’alarme des chambres consulaires et du collectif “Sauvons les entreprises” est significatif du climat économique ambiant. Les petites et moyennes entreprises de l’île sont au bord de l’asphyxie, elles ne parviennent plus à faire face aux charges et encore moins à embaucher, c’est une réalité qu’on ne peut pas nier et qui mérite un traitement de choc si on veut éviter une explosion sociale.
Tout le monde est fatigué d’entendre parler de problèmes, de crise, de choses négatives, on veut bien parler d’autre chose, mais il suffit de regarder ce qui se passe au quotidien pour constater que la situation générale est mauvaise. Et il n’y a pas que La Réunion (en métropole, c’est la même problématique) qui est concernée, d’où le pessimisme qui persiste…
Le gouvernement socialiste fera-t-il mieux que la droite? Evidemment, au bout de 100 jours de pouvoir, il est difficile d’analyser et de comparer, mais ce qui est certain, c’est que la rigueur est bien à l’ordre du jour. La France est dépendante du reste de l’Europe et du monde en général. Le crise perdure, elle n’est pas prête d’être enrayée, il ne faut donc pas s’attendre à des mois meilleurs. Bien courageux celles et ceux qui veulent aujourd’hui entreprendre! Il faudra, à l’évidence, trouver un autre modèle de développement économique, mais lequel?...
Heureusement, il y a aussi de bonnes nouvelles qui arrivent. Par exemple, ces deux jeunes saint-Paulois qui font cette semaine un voyage exceptionnel grâce à l’implication de l’Association 1000 Sourires (voir page 20). Les larmes aux yeux de la petite Cynthia lors de la conférence de presse prouvent qu’il ne faut pas désepérer. Tout peut arriver, et quand un rêve inaccessible devient réalité, on se dit que le monde est parfois bien fait.
Et pour faire oublier les soucis du quotidien, il y a eu les émotions des Jeux Olympiques, ou encore la magie du Cirque Raluy (notre Une de cette semaine). Et on espère d’autres perspectives joyeuses pour les mois à venir…
