Les 180 passagers du vol EasyJet effectuant dimanche dernier la liaison Paris-Toulouse garderont un souvenir mémorable de ce vol. L’avion ayant décollé d’Orly, il aurait du atterrir dans la ville Rose à 17 heures, mais la tempête Marcel en a décidé autrement.
Le pilote, après une approche plutôt mouvementée à cause des conditions météo, a tenté de se poser mais le vent a empêché l’appareil d’atterrir. Le commandant de bord a donc remis les gaz et effectué une nouvelle approche. Ce coup-ci ce serait bon! Alors que le train principal venait de durement toucher la piste, le pilote a une nouvelle fois remis les gaz et a repris de l’altitude. Les passagers en ont été quittes pour une seconde frayeur.
Devant l’impossibilité de se poser normalement, l’appareil s’est dérouté sur Montpellier où l’avion a pu atterrir sans encombre. L’angoisse des passagers, rassurés d’avoir rejoint le plancher des vaches sans dommage, est donc retombée comme un soufflé. Sauf que l’aventure n’était pas terminée...
La frayeur a laissé place à la colère puisque sur ordre de la compagnie, les passagers ont du rester dans l’avion durant plus de deux heures, la direction d’ EasyJet ordonnant au pilote de redécoller illico pour regagner Toulouse. Refus du commandant de bord trop conscient des risques. Les passagers ont alors été débarqués et abandonnés à leur triste sort, la compagnie refusant de les prendre en charge. La solidarité a alors fonctionné entre passagers qui se sont partagés les frais de location de voiture pour rejoindre Toulouse par la route. La compagnie low-cost dans un communiqué, a toutefois annoncé qu’elle dédommagerait les passagers. La faute de Marcel !
Le pilote, après une approche plutôt mouvementée à cause des conditions météo, a tenté de se poser mais le vent a empêché l’appareil d’atterrir. Le commandant de bord a donc remis les gaz et effectué une nouvelle approche. Ce coup-ci ce serait bon! Alors que le train principal venait de durement toucher la piste, le pilote a une nouvelle fois remis les gaz et a repris de l’altitude. Les passagers en ont été quittes pour une seconde frayeur.
Devant l’impossibilité de se poser normalement, l’appareil s’est dérouté sur Montpellier où l’avion a pu atterrir sans encombre. L’angoisse des passagers, rassurés d’avoir rejoint le plancher des vaches sans dommage, est donc retombée comme un soufflé. Sauf que l’aventure n’était pas terminée...
La frayeur a laissé place à la colère puisque sur ordre de la compagnie, les passagers ont du rester dans l’avion durant plus de deux heures, la direction d’ EasyJet ordonnant au pilote de redécoller illico pour regagner Toulouse. Refus du commandant de bord trop conscient des risques. Les passagers ont alors été débarqués et abandonnés à leur triste sort, la compagnie refusant de les prendre en charge. La solidarité a alors fonctionné entre passagers qui se sont partagés les frais de location de voiture pour rejoindre Toulouse par la route. La compagnie low-cost dans un communiqué, a toutefois annoncé qu’elle dédommagerait les passagers. La faute de Marcel !