Photo d'illustration Image par Amber Clay de Pixabay
Selon le Huffingpost, aucune explication n’a été fournie pour le moment pour justifier cette décision.
« Vous êtes tous informés de l’entrée en vigueur de l’ordre mentionné qui suspend l’éducation des femmes jusqu’à nouvel ordre », a indiqué dans une lettre adressée à toutes les universités gouvernementales et privées du pays, le ministre de l’Enseignement supérieur, Neda Mohammad Nadeem.
Cette nouvelle interdiction intervient moins de trois mois après que des milliers de filles et de femmes ont passé les examens d’entrée à l’université dans tout le pays. Nos confrères ont relayé quelques témoignages des étudiants, « Non seulement moi, mais tous mes amies sont sans voix. Nous n’avons pas de mots pour exprimer nos sentiments. Tout le monde pense à l’avenir inconnu qui l’attend », a réagi une étudiante.
Une décision qui a eu l’effet d’une bombe, provoquant même des manifestations. De plus, les femmes n’ont le droit non plus de voyager sans être accompagnées d’un parent masculin. En plus d’être privées d’étudier, les femmes sont également bannies de la plupart des emplois publics ou payés une misère pour rester à la maison.
En novembre, les talibans leur ont également interdit d’entrer dans les parcs, jardins, salles de sport et bains publics.
En ce qui s’agit des manifestations, nombreuses ont été arrêtées pour avoir osé faire entendre leur voix, et des journalistes sont de plus en plus empêchés de couvrir ces rassemblements.
Ramiz Alakbarov, représentant spécial adjoint du chef de l’ONU pour l’Afghanistan a déclaré pour sa part dans un tweet : « L’éducation est un droit humain fondamental. Une porte fermée à l’éducation des femmes est une porte fermée à l’avenir de l’Afghanistan ».
« Vous êtes tous informés de l’entrée en vigueur de l’ordre mentionné qui suspend l’éducation des femmes jusqu’à nouvel ordre », a indiqué dans une lettre adressée à toutes les universités gouvernementales et privées du pays, le ministre de l’Enseignement supérieur, Neda Mohammad Nadeem.
Cette nouvelle interdiction intervient moins de trois mois après que des milliers de filles et de femmes ont passé les examens d’entrée à l’université dans tout le pays. Nos confrères ont relayé quelques témoignages des étudiants, « Non seulement moi, mais tous mes amies sont sans voix. Nous n’avons pas de mots pour exprimer nos sentiments. Tout le monde pense à l’avenir inconnu qui l’attend », a réagi une étudiante.
Une décision qui a eu l’effet d’une bombe, provoquant même des manifestations. De plus, les femmes n’ont le droit non plus de voyager sans être accompagnées d’un parent masculin. En plus d’être privées d’étudier, les femmes sont également bannies de la plupart des emplois publics ou payés une misère pour rester à la maison.
En novembre, les talibans leur ont également interdit d’entrer dans les parcs, jardins, salles de sport et bains publics.
En ce qui s’agit des manifestations, nombreuses ont été arrêtées pour avoir osé faire entendre leur voix, et des journalistes sont de plus en plus empêchés de couvrir ces rassemblements.
Ramiz Alakbarov, représentant spécial adjoint du chef de l’ONU pour l’Afghanistan a déclaré pour sa part dans un tweet : « L’éducation est un droit humain fondamental. Une porte fermée à l’éducation des femmes est une porte fermée à l’avenir de l’Afghanistan ».
