"Abrège frère", à l'origine, c'est un utilisateur Tiktok qui a lancé un concept inédit en France : celui d'écourter les vidéos Tiktok à rallonge en les résumant de manière très concise.
Il explique que l'idée lui est venue en écoutant sa femme se plaindre que les vidéos Tiktok qui l'intéressaient étaient souvent trop longues, et qu'elle aurait aimé pouvoir les résumer. Le compte, qui a connu une popularité rapide avant d'être banni par un hacker, s'est attiré les foudres pour avoir disproportionnellement ciblé des vidéos de femmes, engendrant de violentes réactions misogynes dans les commentaires.
Les victimes de ces pratiques dénoncent une amplification de la misogynie et un environnement hostile sur les réseaux sociaux, exacerbé par des commentaires haineux et sexistes qui remettent en question leur droit à s'exprimer. Des spécialistes de la communication et l'information soulignent que cette situation reflète les mécanismes plus larges de répression de la parole féminine, tant dans l'espace numérique que physique.
Les créatrices appellent à une prise de conscience et à un changement de comportement de la part des utilisateurs qui ne s'intéressent pas à leurs contenus, en rappelant que si un sujet ne les intéresse pas, ils peuvent simplement ne pas regarder, au lieu de recourir à des attaques ou à des demandes de réduction de leur expression.
Il explique que l'idée lui est venue en écoutant sa femme se plaindre que les vidéos Tiktok qui l'intéressaient étaient souvent trop longues, et qu'elle aurait aimé pouvoir les résumer. Le compte, qui a connu une popularité rapide avant d'être banni par un hacker, s'est attiré les foudres pour avoir disproportionnellement ciblé des vidéos de femmes, engendrant de violentes réactions misogynes dans les commentaires.
Les victimes de ces pratiques dénoncent une amplification de la misogynie et un environnement hostile sur les réseaux sociaux, exacerbé par des commentaires haineux et sexistes qui remettent en question leur droit à s'exprimer. Des spécialistes de la communication et l'information soulignent que cette situation reflète les mécanismes plus larges de répression de la parole féminine, tant dans l'espace numérique que physique.
Les créatrices appellent à une prise de conscience et à un changement de comportement de la part des utilisateurs qui ne s'intéressent pas à leurs contenus, en rappelant que si un sujet ne les intéresse pas, ils peuvent simplement ne pas regarder, au lieu de recourir à des attaques ou à des demandes de réduction de leur expression.
