En septembre 2012, Stéphanie Robert découvrait la fameuse boutique des Champs-Elysées
Mais rien ne va plus au royaume de Ken et Barbie. Il est encore possible de faire sa photo à l'entrée avec un demi-dieu torse nu mais pour combien de temps encore?
Stéphanie Robert, Miss Réunion 2012, avait découvert ce temple parisien de la mode en septembre 2012. Un univers qui l'avait vraiment marquée, il faut bien avouer que le concept était plus qu'innovant.
Pas d’enseigne, une file d'attente digne d'un musée, un superbe hôtel particulier comme écrin, une vente dans le noir avec musique à fond, danseurs et balayeurs partout... Un décor en fresques hommage à la beauté virile, voire plus si affinités, et à la jeunesse... Et les vêtements dans tout cela? En piles parfaites, ultra colorés et se répétant à l'infini sur quatre étages.
Ce monde parfait semble cependant avoir des limites économiques et juridiques. Baisse des ventes, poursuites judiciaires pour embauches discriminatoires. Il est indéniable que les vendeurs étaient recrutés pour leur plastique. Jeans taille basse, torses nus, jupes ultra courtes et décolletés généreux, rien ne se cachait... Pour l'instant La France et l'Allemagne ne sont pas encore concernées par la mise au placard des mannequins mais l'homme objet, et oui ça existe, va sans doute pouvoir se rhabiller.
Stéphanie Robert, Miss Réunion 2012, avait découvert ce temple parisien de la mode en septembre 2012. Un univers qui l'avait vraiment marquée, il faut bien avouer que le concept était plus qu'innovant.
Pas d’enseigne, une file d'attente digne d'un musée, un superbe hôtel particulier comme écrin, une vente dans le noir avec musique à fond, danseurs et balayeurs partout... Un décor en fresques hommage à la beauté virile, voire plus si affinités, et à la jeunesse... Et les vêtements dans tout cela? En piles parfaites, ultra colorés et se répétant à l'infini sur quatre étages.
Ce monde parfait semble cependant avoir des limites économiques et juridiques. Baisse des ventes, poursuites judiciaires pour embauches discriminatoires. Il est indéniable que les vendeurs étaient recrutés pour leur plastique. Jeans taille basse, torses nus, jupes ultra courtes et décolletés généreux, rien ne se cachait... Pour l'instant La France et l'Allemagne ne sont pas encore concernées par la mise au placard des mannequins mais l'homme objet, et oui ça existe, va sans doute pouvoir se rhabiller.
Un accueil très soigné!
Musique à fond et vente dans la pénombre: tout un concept!
