De l’Afghanistan au Cambodge, de l’Egypte à l’Ethiopie, de Haïti à l’Inde, en passant par le Népal, le Pérou ou la Sierra Leone, la volonté d’émancipation de ces jeunes filles force le respect. Ce quasi documentaire est un récit synonyme d’espoir de voir enfin évoluer les mentalités. Il illustre le fait que laisser les femmes accéder librement à l’éducation dans les pays émergents pourrait changer le monde par l’impulsion d’un nouvel élan socio-économique.
Pour donner une dimension supplémentaire à leurs propos, neuf écrivaines reconnues dans ces mêmes pays ont aidées les jeunes filles à écrire leurs histoires, et ce sont à travers les voix d’actrices et chanteuses célèbres: Meryl Streep, Alicia Keys, Cate Blanchett, Selena Gomez, Liam Neeson, Priyanka Chopra, Anne Hathaway, Chloë Grace Moretz, Freida Pinto, Salma Hayek et Kerry Wahsington que Girl Rising met en valeur la force de l'esprit humain, le pouvoir et le rôle crucial qu'a l'éducation pour changer le monde et émanciper les jeunes filles.
Pour donner une dimension supplémentaire à leurs propos, neuf écrivaines reconnues dans ces mêmes pays ont aidées les jeunes filles à écrire leurs histoires, et ce sont à travers les voix d’actrices et chanteuses célèbres: Meryl Streep, Alicia Keys, Cate Blanchett, Selena Gomez, Liam Neeson, Priyanka Chopra, Anne Hathaway, Chloë Grace Moretz, Freida Pinto, Salma Hayek et Kerry Wahsington que Girl Rising met en valeur la force de l'esprit humain, le pouvoir et le rôle crucial qu'a l'éducation pour changer le monde et émanciper les jeunes filles.
Des millions de filles n’ont toujours pas accès à l’éducation en 2013. Des millions de filles rêvent d'aller à l'école. L’histoire de cette jeune Pakistanaise, Malala, blessée d’une balle dans la tête par les talibans alors qu’elle osait braver l’interdiction d’aller à l’école a fait la Une des médias et bouleversé la planète. Comme elle, elles sont des milliers encore aujourd’hui dans le monde à devoir braver tous les dangers et relever 1 000 défis pour recevoir l’éducation qu’elles méritent. Et ce en dépit de nombreux efforts des organisations internationales, des associations de développement et des pouvoirs publics pour promouvoir et faciliter l’éducation des filles et des femmes. Aujourd’hui, des millions de filles n’ont toujours pas accès à l’éducation, or un enfant dont la mère sait lire a deux fois plus de chances de survivre au-delà de cinq ans. Une réalité qui aujourd’hui plus que jamais devrait tous nous convaincre qu’exclure les filles et les femmes est intolérable.
Parmi les portraits, il y a Amina mariée de force à 11 ans, elle a vécu sa grossesse et sa vie de jeune mère sous une burqa. Senna, Péruvienne dont la famille travaille dans les mines d’or est passionnée de poésie. Mariama, au Sierra-Leone, est la seule de sa famille à avoir été à l’école et anime sa propre émission de radio sur l’égalité des sexes. Plus d’un an après l’agression de Malala Yousafzai par les talibans, blessée d’une balle dans la tête pour avoir tenu un blog sur la nécessité d’éduquer les filles, le très beau documentaire Girl Rising lui rend hommage en donnant un écho efficace à des actions isolées et engagées par des enfants. Le film rassemble les portraits de neuf jeunes filles qui se sont toutes élevées contre le cadre obtus qu’on leur proposait, menant des projets pour l’éducation et l’émancipation des filles.
Sans tomber dans le misérabilisme, Robbins a souhaité raconter de belles histoires. Comme celle de Sokha, Cambodgienne qui est passée de la vie dans les décharges à celle d’une enfant star, et qui entre aujourd’hui au collège. Ou celle de Suma, Népalaise envoyée loin de ses parents pour devenir servante à 6 ans, et finalement libérée à 12 pour prendre le chemin de l’école. Elle milite depuis activement pour libérer d’autres petites servantes. « La révélation pour moi a été de découvrir la détermination de ces filles, et à quel point elles semblaient solides malgré tous les épisodes violents qu’elles avaient subis dans leur courte vie. Je ne m’attendais pas à ce qu’on puisse vivre dans une décharge à 12 ans et s’en sortir un an plus tard pour devenir une étudiante brillante, mais c’est exactement le parcours de Sokha», raconte le réalisateur, visiblement impressionné par son propre sujet. Selon lui ces «enfants étonnantes» ont cette faculté de ne pas s’apitoyer, de ne pas trouver leur situation horrible et de ne pas se sentir victimes de quoi que ce soit.
Parmi les portraits, il y a Amina mariée de force à 11 ans, elle a vécu sa grossesse et sa vie de jeune mère sous une burqa. Senna, Péruvienne dont la famille travaille dans les mines d’or est passionnée de poésie. Mariama, au Sierra-Leone, est la seule de sa famille à avoir été à l’école et anime sa propre émission de radio sur l’égalité des sexes. Plus d’un an après l’agression de Malala Yousafzai par les talibans, blessée d’une balle dans la tête pour avoir tenu un blog sur la nécessité d’éduquer les filles, le très beau documentaire Girl Rising lui rend hommage en donnant un écho efficace à des actions isolées et engagées par des enfants. Le film rassemble les portraits de neuf jeunes filles qui se sont toutes élevées contre le cadre obtus qu’on leur proposait, menant des projets pour l’éducation et l’émancipation des filles.
Sans tomber dans le misérabilisme, Robbins a souhaité raconter de belles histoires. Comme celle de Sokha, Cambodgienne qui est passée de la vie dans les décharges à celle d’une enfant star, et qui entre aujourd’hui au collège. Ou celle de Suma, Népalaise envoyée loin de ses parents pour devenir servante à 6 ans, et finalement libérée à 12 pour prendre le chemin de l’école. Elle milite depuis activement pour libérer d’autres petites servantes. « La révélation pour moi a été de découvrir la détermination de ces filles, et à quel point elles semblaient solides malgré tous les épisodes violents qu’elles avaient subis dans leur courte vie. Je ne m’attendais pas à ce qu’on puisse vivre dans une décharge à 12 ans et s’en sortir un an plus tard pour devenir une étudiante brillante, mais c’est exactement le parcours de Sokha», raconte le réalisateur, visiblement impressionné par son propre sujet. Selon lui ces «enfants étonnantes» ont cette faculté de ne pas s’apitoyer, de ne pas trouver leur situation horrible et de ne pas se sentir victimes de quoi que ce soit.







